Zigmund K. avait 24 ans en janvier 1945.
De sa cellule il pouvait entendre ses collègues pleurer et hurler de terreur une fois assassiné par les Allemands quelques pièces plus loin. Zigmund est polonais mais son père étais d’origine Autrichienne. Peut-être pouvais-il s’en servir pour sauver sa propre peau mais à ce moment là, il ne le savait pas. Il ne faisait qu’espérer que son tour ne serait pas le suivant. Chaque deux heures on venait chercher un prisonnier et on le torturais pour finalement l’éxécuter. 12 des 21 prisonniers avaient déjà été assassinés quand les Allemands ont amené un nouveau compagnon de cellule. Un très important, un Anglais, une superstar de l’armée. Un proche de Churchill. Un 13ème compagnon de cellule a été choisi pour perdre la vie. C’étais non numéro chanceux mais ça non plus il ne le savait pas encore. Zigmund avait droit a une journée de plus.
Pendant la nuit une pétarade de balles de fusil s’est fait entendre. Un « bloke »(soldat anglais) est venu défoncer la porte de la prison qui les retenais a pris la superstar de l’armée avec lui et a crié aux autres en leur mettant un fusil Allemand dans les mains « « Wanna live ? Don’t stay here ! Move ! ».Zigmund et les huit autres soldats Polonais ont quitté en trombe et ne se sont plus jamais revus. Zigmund s’est caché pendant 6 moisen Allemagne Nazie. Puis il est tombé sur un taxi conduit par un impossible Allemand. Un Allemand dont le « A » du nom avait auparavant servi pour épeler « Ange ».
«Où veux tu te rendre?”
« Hors du pays si possible »
Le chauffeur de taxi l’a dévisagé longuement, l’accent de Zigmund et ses intentions d’itinéraire le trahissait.
« …tu es Allemand ?... »
« Non…Polonais…mais mon père est Autrichien »
« C’est Allemand ça, tu es Allemand »
« En fait… »
« Tu es Allemand sinon je te tue »
Ils ne se sont plus parlé jusqu’au train qui l’amènerais en Italie. Ils ne se sont évidemment plus jamais revus. L’armistice a eu lieu peu de temps après. C’est en Italie qu’il a rencontré Flavie, une polonaise elle aussi. Ensemble ils ont tricoté des enfants. Deux. Une fille d’abord puis un garçon. Les deux nés le 13 en Amérique qu’ils avaient atteint car c’étais eux aussi qui avait mis fin à leur misère après tout.
Quand leur adolescente s’est fait pincé au Mexique pour avoir essayer de frauder avec des cartes de crédit, Zigmund est allé la chercher mais ne s’est pas outré de son crime. Ceux des Allemands étaient bien pires. Ils avaient volés sa maison, toutes ses terres, violé leur femmes et tué tous ses parents et amis.
Quand son fils « oubliais » de retourner à l’école passé l’heure du midi et qu’il redoublais son année scolaire Zigmund l’encourageais à aller travailler à la place. Ce que son fils fini par faire avec beaucoup de succès au même Garage que son père.
Zigmund a 87 ans aujourd’hui. Il est grand-père trois fois. Une fois par erreur deux fois dans le bonheur.
Il ne s’émeut plus quand un ado du parc de Pierrefonds le traite de vieille sacoche.
Mais il verse encore une larme quand il voit deux avions faire tomber deux tours.
Il se dit « Personne n’a encore compris ».
De sa cellule il pouvait entendre ses collègues pleurer et hurler de terreur une fois assassiné par les Allemands quelques pièces plus loin. Zigmund est polonais mais son père étais d’origine Autrichienne. Peut-être pouvais-il s’en servir pour sauver sa propre peau mais à ce moment là, il ne le savait pas. Il ne faisait qu’espérer que son tour ne serait pas le suivant. Chaque deux heures on venait chercher un prisonnier et on le torturais pour finalement l’éxécuter. 12 des 21 prisonniers avaient déjà été assassinés quand les Allemands ont amené un nouveau compagnon de cellule. Un très important, un Anglais, une superstar de l’armée. Un proche de Churchill. Un 13ème compagnon de cellule a été choisi pour perdre la vie. C’étais non numéro chanceux mais ça non plus il ne le savait pas encore. Zigmund avait droit a une journée de plus.
Pendant la nuit une pétarade de balles de fusil s’est fait entendre. Un « bloke »(soldat anglais) est venu défoncer la porte de la prison qui les retenais a pris la superstar de l’armée avec lui et a crié aux autres en leur mettant un fusil Allemand dans les mains « « Wanna live ? Don’t stay here ! Move ! ».Zigmund et les huit autres soldats Polonais ont quitté en trombe et ne se sont plus jamais revus. Zigmund s’est caché pendant 6 moisen Allemagne Nazie. Puis il est tombé sur un taxi conduit par un impossible Allemand. Un Allemand dont le « A » du nom avait auparavant servi pour épeler « Ange ».
«Où veux tu te rendre?”
« Hors du pays si possible »
Le chauffeur de taxi l’a dévisagé longuement, l’accent de Zigmund et ses intentions d’itinéraire le trahissait.
« …tu es Allemand ?... »
« Non…Polonais…mais mon père est Autrichien »
« C’est Allemand ça, tu es Allemand »
« En fait… »
« Tu es Allemand sinon je te tue »
Ils ne se sont plus parlé jusqu’au train qui l’amènerais en Italie. Ils ne se sont évidemment plus jamais revus. L’armistice a eu lieu peu de temps après. C’est en Italie qu’il a rencontré Flavie, une polonaise elle aussi. Ensemble ils ont tricoté des enfants. Deux. Une fille d’abord puis un garçon. Les deux nés le 13 en Amérique qu’ils avaient atteint car c’étais eux aussi qui avait mis fin à leur misère après tout.
Quand leur adolescente s’est fait pincé au Mexique pour avoir essayer de frauder avec des cartes de crédit, Zigmund est allé la chercher mais ne s’est pas outré de son crime. Ceux des Allemands étaient bien pires. Ils avaient volés sa maison, toutes ses terres, violé leur femmes et tué tous ses parents et amis.
Quand son fils « oubliais » de retourner à l’école passé l’heure du midi et qu’il redoublais son année scolaire Zigmund l’encourageais à aller travailler à la place. Ce que son fils fini par faire avec beaucoup de succès au même Garage que son père.
Zigmund a 87 ans aujourd’hui. Il est grand-père trois fois. Une fois par erreur deux fois dans le bonheur.
Il ne s’émeut plus quand un ado du parc de Pierrefonds le traite de vieille sacoche.
Mais il verse encore une larme quand il voit deux avions faire tomber deux tours.
Il se dit « Personne n’a encore compris ».
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