Charles Manson est ce que les États-Unis avaient eu de plus près.
Mais de nos jours...
Dans le livre de Timothy W.Ryback Takeover: Hitler's Final Rise to Power, on y lit Hitler, presque heure par heure, de 1932 à 1933, jusqu'au jour où l'opinion publique a complètement renversé, au point que de nommer Adolf Hitler comme nouveau chancelier du pays, de la part de Paul von Hindenburg, pour la plupart des Allemand(e)s, ne semblait pas anormal. C'était la suite logique des choses. Jamais il n'a été voté par le peuple. Les gens au pouvoir avant Hitler pensaient que si on passait outre ses excentricités racistes, on avait quelqu'un qui allait très certainement protéger votre argent.
Tiens...tiens...La droite décente pensait, à juste titre, qu'il serait trop dérangé pour durer vraiment longtemps. Il y avait une sorte de pensée magique. Même durant la Seconde Grande Guerre. On se disait que la tempête passerait. Elle est restée longtemps. Encore de nos jours, les extraordinairement vieux sont hantés par ses années. Le président von Hindenburg et l'ex chancelier Franz von Papen étaient tous deux très anti-Hitler avant de lui donner le pouvoir.
...les...les histoires se répètent elles tout le temps ?
En Allemagne, on trouvait les Nazis un peu bizarres et intenses dans leur nationalisme et leur antisémitisme, on les appelait alors les impressionnistes. Presqu'un sobriquet affectueux artistique. Parce qu'ils faisaient grande impression. Quand Charlie Chaplin le voit pour la première fois sur film, il pense qu'il essaie de l'imiter dans son personnage de vagabond et le trouve tout aussi clownesque. Personne ne le prenait aussi au sérieux qu'on aurait dû...
...est-ce que les juges des États-Unis me lisent ?
Hitler avait tenté unUn de ses proches, Kurt von Schleicher dira d'Adolf qu'il était un des leaders politiques des plus paresseux avec lequel il avait travaillé, Htiler se levant souvent jamais avant 11 heures le matin et parlant de films en tout temps. Il était fasciné par le montage cinématographique qui manipulait si bien les esprits. Plusieurs des proches du Fürher le détestait beaucoup, comme Kurt von Hammerstein, mais n'avaient pas le courage de tenter de le tuer. Car le déloger ne semblait pas une possibilité.
Loyauté aveugle |
Loyauté aveugle. Costume de lâcheté.
Ce qui a rassuré ceux et celles qui doutaient d'Hitler, c'était la constitution nationale. Ils faisaient confiance aux règles de la constitution qui pouvaient destituer un leader jugé déséquilibré
Comme le 25e amendement de la constitution des États-Unis.
L'opposition sociale démocratique croyait à la justice et à la loi. Jusqu'`à ce que celle-ci ne devienne outil du gouvernement afin d'arriver à ses fins. La haine était au coeur des priorités du Fhürer. Les déviances sexuelles d'Hitler l'auraient probablement fait avoir des relations sexuelles avec sa propre nièce Geli, quand elle avait 17 ans. Celle-ci s'enlèverait la vie en 1931, à 23 ans, après presque 6 ans à vivre presqu'avec lui. Un président avec des déviances sexuelles. Impossible en Amérique du Nord. Oh wait...Alfred Hugenberg était un magnat des médias en Allemagne. Cinéma, radio et journaux. Il n'était aucunement admirateur d'Adolf. Hungenberg parlait de Katastophenpolitik. Catastrophe politique. Hitler le payait pour qu'il raconte des menteries dans les journaux. Il pliait. Et ça l'insultait. Il voulait lui aussi être chef de parti, Hugenberg. En avait les moyens. Hitler jalousait son statut. Il sera assez habile pour faire ce qu'il devait faire afin de survivre à tout le cirque nazi, et même après la Seconde Guerre Mondiale, il a été dénazifié avec succès, et soulagé de tout blâme, comme la bourgeoisie le commande encore de nos jours.
Mais heureusement.
Les temps ont tellement changé depuis.
Ouf!
Oui, heureusement, les temps ont bien changé.
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