vendredi 26 septembre 2025

Ère Infâme, Je Te Blâme/ Tu Me Blâme

Vous avez remarqué le vide chez Pierre Poilièvre? 

Le chef de l'opposition canadienne.  

Trump, version Temu.  

Nabot mental.

Je ne parle pas de son regard vide caché derrière ses lunettes ou de son inexistant programme, je parles du contenu de ses propos depuis son retour en chambre. Il n'a rien compris. Où n'a pas le talent de proposer autre chose. Surement les deux. TOUS LES JOURS, il tire sur Mark Carney. Peu importe ce que fera Carney. Comme si les Libéraux, c'était lui seul. Ce qui confirme aussi qu'il ne sait pas ce qu'il vise, mais il tire. Il ne serait pas si compliqué, quand, depuis toujours "être politicien" aura été ton unique métier, de scruter quelques maillons faibles du parti de Carney et de taper sur quelques clous qui menaceraient de faire couler la chaloupe Libérale dans l'Océan Nord-Américain.

Et si il avait l'ombre de quelques idées, ça aiderait aussi à se greffer un meilleur public. Ses partisans ont pleuré Charlie Kirk. Qui avait compris que la liberté d'expression était un permis de nuire et un outil de propagande haineuse lorsque bien enveloppée dans la ouate religieuse parfumée. La liberté d'expression est un droit fondamental mais pas illimité. Certains parfums puent.

On l'a encore vu à l'ONU cette semaine, quand l'abject président des États-Unis est monté au micro, s'humiliant et surtout humiliant tout son pays, avec des propos mensongers, déments, séniles, accusateurs et des reproches de vieux mononcles après 6 bières, vers minuit au souère, à la planète entière. Les moqueries se sont fait entendre absolument partout dans le  monde. Il était à l'ONU ! La où une large partie du monde, se réunit. Il est si déconnecté qu'il a dit qu'il ne se trompait sur rien. Comme un enfant de 11 ans. 

Comme Gilligan ne pouvait pas faire ce que tout le monde fait normalement, il a par deux fois, senti qu'il avait l'air plus con que tout ce, pourquoi on le trouvait déjà affreusement con. Quand le téléprompteur, cet écran qui lui permet de lire son discours, même si échevelé, près des caméras qui le filme, n'a pas fonctionné adéquatement, et qu'il a été forcé d'improviser son incohérent nawak. La seconde fois, c'est quand Melania et lui ont voulu prendre l'escalier roulant de l'endroit avant ce discours et que celui-ci s'est arrêté au moment même où le couple y mettait le pied. Suggérant avec justesse que tout ce que touche le vieux Donald, il détruit. 

Il le prouve toujours, aux guides de son propre pays.

Dans le premiers cas, il bouillait tant de l'intérieur qu'il a blâmé l'ONU pour "ses" mauvais téléprompteurs" disant (faussement) que c'était les deux uniques choses que l'ONU lui avait donné aujourd'hui, pas surprenant que ça déraille, et pour la seconde fois, ordonnant carrément une enquête sur ce qui s'était passé avec l'escalier roulant. Car le nigaud a choisi de ne plus avancer, comme bébé se demande pourquoi sa poussette s'arrête, cherchant de la tête qui blâmer. Melania, moins décoration qu'habituellement, a vite choisi de monter à pieds. Comme 100% des humains de la terre auraient fait. 

Mais Pedoshitler n'est pas humain. Gorille, peut-être.

 On l'aurait inventé que personne ne nous aurait jamais cru. 

Pam Bondi, gourde de la sécurité nationale, a dit, sans rire, que la crédibilité des É-U avait été ternie. Un autre tonnerre de rire mondial est survenu. Créant des tsunamis ici et là. 

Il y a eu enquête. 

Dans le cas du téléprompteur, on a découvert que c'était l'équipe de la Maison Blanche qui avait apporté son propre téléprompteur et qui était trop incompétente (qui l'eût cru? incompétente ?) pour le faire fonctionner pour le vieux monsieur qui ne sait pas dire acétaminophène. Mais qui sait comment ploguer les entreprises de son ami RFK JR comme substituts aux Tylenols. L'histoire du gars outré du balai qui lui a frappé le nez, mais sur lequel il avait lui-même mis le pied. 

Dans le second cas, celui de l'escalier, on a conclu que c'était l'escalier qui le menait au paradis, paradis qui, bien entendu, lui sera refusé. Il devait donc s'arrêter. Et après enquête d'adultes, c'était plus clair encore. 

Il s'agissait d'un membre de l'équipe du président, le vidéographe, qui était monté avant eux et avait actionné l'arrêt pour je ne sais quoi, et coordonnant mal le moment de leur arrivée et le moment d'arrêt.

Encore une fois la pelure de banane pour la République.

De.

Qui a aussi, son dictateur. 

Contre le monde entier.

Pas surprenant que le monde se retienne de rire.  

Tout ce rituel de blâme est une réduction des discours devenus juvéniles et ramer aux niveaux des enfants de l'école primaire qui se pointent du doigt sans tout le temps se rappeler pourquoi.

Alors qu'on sait tous que c'est parce qu'ils ont peur des autres.

Sinon, autant Poilièvre que le crétin d'en bas, pourquoi ce très ouvert racisme ?

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