lundi 16 février 2009

Promesses


"Mais que faites vous couché sous ma voiture dans mon entrée?"

"Je boude et je proteste"

"mais je peux vous trouver une cause et un piquet de grève et je vous suggère de faire cela debout et au vu et au dessus de tous car sous ma voiture..."

"...En restant sous votre voiture je vous empêche de sortir"

"Vous protester contre moi? contre quoi?"

"Contre votre entrée mal déblayée, glacée, dangereuse, je suis le camelot j'ai glissé je suis tombé, je me suis retrouvé ici."

"vous...vous êtes de mêche avec ma femme? C'est elle qui vous a engagé?"

"C'est La Presse qui m'engage monsieur"

"Bon allez je vous aide à sortir et on en reparle plus"

"Vous me promettez de faire des ajustements par rapport à votre entréé?"

"Je vais stationner la voiture dans la rue si cela peut vous aider et je vous donne la permission de laisser le journal là où vous jugerez que vous en avez fait assez dans mon entrée mais pour ce qui est de faire des promesses..."

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"Monsieur Leblanc révelez-nous l'identité de la taupe qui a rendue public le scandale des commandites" ."


"Ceci ne rendrait service à personne monsieur le juge"

"Ce n'est pas à vous d'en juger M.Leblanc"

"Ne serais-ce je pas en train de donner des munitions à tous les "Bully" qui voudrait y aller de représailles à l'égard de ma source si j'en révélais l'identité?"

"La question n'est pas là M.Leblanc nous tenons à savoir"

"Depuis quand la justice est-elle l'ennemi du peuple Monsieur le juge? Vous savez très bien que les bully fédéraux auront sa tête si cette source est révélée. Jamais l'idée de rester anonyme n'aura été plus légitime. Et jamais l'idée de vouloir la révéler ne m'a paru plus inutile

"Vous savez que vous risquez la prison pour insubordination si vous ne vous prêtez aux demandes du juge M.Leblanc"

"Désolé je ne savais pas que le canada étais un état répressif, régressif et dépressif"

"Promettez-moi de nous livrer le nom de celui ou de celle qui se cache derrière le nom de code de "ma chouette" "

"je vous promets de fermer ma gueule, c'est le seul type de promesse que je peux faire, c'est par où la prison?"

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"Plusieurs personnes disent que nous n'avons rien en commun Barrak je ne crois pas que ce soit vrai"

"Stephen, nous sommes deux grands adultes qui croyont aux valeurs de l'Amérique, si il fallait donner un écho à tout ce que l'on entend comme rumeur je serais moi-même un misérable être corrumpu parmi les misérables dans les rues de Chicago"

"Le contraire reste à prouver Hahahaha!"

Barrack ne rit pas.

"well... er..beuh...ouin...vous.. vous écrivez des livres?"

"J'ai écris oui, je trouve que ceci stimule les moteurs de pensée. Vous lisez?"

"La bible, sinon peu. J'ai toutefois un bibliothécaire personnel, un écrivain qui m'envois des livres chaque semaine, que je n'ai pas le temps de lire malheureusement...en fait je les place tous au recyclage directement pour faire ma part pour l'environnement..."

"...Vous voyez on a des choses en commun..."

"J'en suis ravi! promettez-moi de prendre un petit verre de bitumineux un peu plus tard avec nous."

"Mes promesses sont à l'égard des intérêts Américains, Stephen."

"Et les miennes à l'égard de l'Alberta allez, allez bituminons Dubya, Euh Barrack...C'est quoi votre surnom à vous déjà?"

"Hope"

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"Que faites vous encore sous ma voiture?"

"Rien à avoir avec votre entrée cette fois, j'ai remarqué que votre femme portait souvent la jupe."

"simple voyeurisme alors?"

"C'est très cela"

"Déprimant personnage, je vous promets de vous rouler dessus c'est moi qui prend la voiture aujourd'hui"

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