mardi 11 novembre 2008

Têtes de chien


Superficiellement vôtre,

Quiconque me connait sait que j'ai un faible pour les têtes particulièrement originales.

J'ai définitivement un fétiche pour les cheveux qui peuvent déterminer si une fille m'attire ou non. Celle qui fait preuve d'originalité, de créativité et d'audace dans sa tignasse a toujours une longueur d'avance sur les autres.

Les têtes dites "cinématographiques" ravissent mon oeil. Comme celle d'Emmanuelle Devos. Ce n'est pas une tête que je penserais trouver derrière un cubicule. J'aime voir ses grands yeux océan mer sur grand écran. Bien sur il me ferait encore plus plaisir d'avoir son visage de l'autre côté de la paroi de mon bureau. Mon oeil aurait de quoi explorer son visage toute la journée mais ce n'est pas une tête aue je m'attends à trouver n'importe où.

C'est de la curiosité de mon oeil dont il s'agit au fond. Mon oeil aime regarder longtemps des traits qui sont particuliers, uniques.

Ça finit par tomber sur les nerfs de mes amis qui finissent toujours par dire "ça c'est le style à Jones..." Et ils se trompent peu.

C'est temps-ci ce que je découvre c'est toute une série de têtes de chien...

Comme Pascale Déry à TVA que l'amoureuse et moi appelons gentiment Hush Puppy Déry. Je ne peux pas dire que je la trouve attirante mais pas repoussante non plus puisque je pourrais regarder son visage longtemps tellement je trouve ses traits particuliers. Ce qui est drôlement interressant pour une lectrice de nouvelles et encore plus intéressant pour le diffuseur qui se garantie des côtes d'écoutes soutenues de ma part.

Jacques Dutronc en est un autre dont la grosse tête m'a toujours fasciné. On dirait un Bubblehead avant l'heure. Il m'a toujours fasciné pour d'autre raisons aussi. Avec sa grosse tête il a quand même réussi à partager son lit avec la délicieuse et parfaite Françoise Hardy duquel je suis amoureux depuis toujours.

Terry O'Reilly c'est l'ultime tête de chien. Le gros numéro 24 de Bruins de Boston des années 70 et 80 m'a toujours impressionné. Non seulement porte-t-il le nom de la branche Irlandaise de ma famille mais en plus il avait un tempéramment de rottweiller. Il se battait continuellement et véritablement comme un chien de ruelle.
Regardez le fou furieux escalader la bande dans la foule à New York pour aller faire un mauvais parti à des partisans de Rangers de New York.

C'étais bien meilleur que les étoiles de la lutte et pas truqué! grotesque à 100%
Quand j'entendais dans la versiooj française du film Slap Shot "une grosse tête à fourre" c'est à sa tête que je pensais.

On a toujours eu des chiens dans la maisonnée chez nous mais O'Reilly c'étais mon chien préféré.

Et là avec Sarkozy dans l'actualité et sa bouille increvable, je trouve qu'il y aurait du matériel pour un dessinateur ou un caricaturiste de talent pour toute une série d'animations canines qui dresserait des parrallèlles avec les gens de l'actualité.

Quelque chose de subtil.

Donc pas pour TVA.

Ouais je m'en vais tout de suite chez Telefilm Canada.
faudrait juste que j'arrange ma tête de chien avant...

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