Restons clairs, une vanne de fin de soirée comme ça de la part du clown président c'est une envie molle de débarrasser de cette épine dans le pied qu'est celle qui l'a toujours dominée dans les échanges sur les réseaux sociaux. C'est un coup de tison dans le feu de le constitution voir si le papier brûle bien. Pour en effacer les traces. La démocratie, quelle tare ! La justice ? quelle tâche d'huile ! Les droits citoyens ? Voyons ce que j'en ferais bien...
C'est un ballon de fin de soirée afin de voir qui le prends en photo et salue son envol en l'encourageant. Qui crie, qui jubile, qui rit, qui s'insurge, qui se fâche, qui s'amuse, qui reste muet. Qui est il pour dire qu'elle n'est pas dans le meilleur intérêt pour les États-Unis ?. C'est elle qui soutire les subventions pour les enfants sous alimentés ? C'est elle qui pratique un racisme aveugle contre toute ethnie visible ? C'est elle qui empêche les gens de tout portefeuille de se faire soigner ? Les considérations sérieuses qu'il y a à avoir c'est sur la santé mentale de celui qui passe plus de temps aux micros, sur les réseaux sociaux, les terrains de golf ou devant les caméras que dans des bureaux fermés à bâtir un monde meilleur.PERSONNE ne peut dire avec sérieux que le président des États-Unis actuel fait du bien aux Étatsuniens. Il reste la plus grande erreur politique et un simple facilitateurs pour les gens riches. Rosie O'Donnell pourrait monter un épais dossier prouvant qu'elle fait beaucoup plus de bien au peuple des É-U que l'inverse.
Soyons encore plus clair. Rosie O'Donnell est née à Commack, New York. Son père est né en Irlande. a Immigré lui-même, enfant. Comme le grand père du président, qui était Allemand. Rosie est protégée par le 14e amendement de la Constitution des États-Unis, que le président fait semblant de respecter. Il ne peut pas révoquer sa citoyenneté comme on se commande un Coke Diet à Mar-a-Lago. Ou qu'on impose des taxes douanières d'ici le premier août. On les présente au Congrès et celui vote sur la chose. Ce ne sont pas des pulsions rageuses, ce sont des essais de 10 verges. Devant des arbitres qui ferment les yeux. Et qu'on peut influencer, menacer, corrompre ou intimider. C'est à eux qu'ils parlent aussi.
"Est-ce que je peux faire un exemple d'une personnalité publique comme ça et m'en tirer ?" demande-t-il. Et si la réponse est oui. Plus personne ne sera en sécurité Les manifestants dans les rues. Les immigrant(e)s Les journalistes. Les gens ordinaires partout. Et même les MAGA qui changeraient leurs fusils d'épaule. Qui sont de plus en plus nombreux. Ils sont même peut-être la cible derrière cette menace contre O'Donnell qu'il ne pourra pas mettre à exécution.
Il faudrait cesser de traiter chacune des ses folies ouvertes comme des anomalies bizarres. Les marchés ont commencé à le faire eux-mêmes en ne réagissant pas à sa dernière menace de hausse d'extorsion douanières injustifiées. La stratégie a été utilisée déjà, avec le bannissement raciste musulman. Lancer l'idée, tester la réaction publique, la possibilité "légale", puis appliquer si personne ne vous arrête.O'Donnell a quitté pour aller vivre en Irlande le temps que Trump soit au pouvoir, après des années et des années à se faire insulter partout par le président, qui la harcèle sur son apparence, sa sexualité, son humanité. Et maintenant, une suggestion de lui retirer son droit d'être citoyenne du pays où elle est née, a été élevée, y a fait carrière, un pays qu'elle a aimé, mais qui n'est plus aimable. Surtout si vous êtres d'origine étrangère, de le communauté LGBTQ+ ou une femme. Et touche au trois spectres. Elle perdrait sa citoyenneté simplement parce qu'elle n'est pas d'accord avec sa manière de voir les choses ? Ce n'est pas de la politique. C'est de la vengeance persécutoire.
La partie la plus épeurante n'est pas sa menace, il en fait toutes les heures, on s'en moque davantage, mais c'est tout le système dans lequel il plante les ordures verbales qu'il déblatèrent tous les jours. Un système désormais craqué, qui a ramené le drapeau d'un racisme décomplexé sur la place publique, et qui vient chatouiller aux États-Unis, la simple identité. La citoyenneté.Le gouvernement ne peut JAMAIS choisir son peuple. Le peuple choisit ses gouvernements. C'est le démantèlement de ces deux phrases qui est en cour. Ce clown n'a jamais vu les É-U comme la République qu'elle est, il y voit un empire. Et se considère l'empereur qui s'y place au trône lui-même.
Ce n'est pas à propos de Rosie. C'est à propos du pouvoir. Le plus près du pouvoir absolu sur tout possible. Comme le font ses idoles Vlad, Kim-Jong, Epstein.
Si on ne démarre pas les conversations sur le sujet tout de suite, on aura peut-être jamais plus la chance de le faire librement.
Cet homme est le cancer.
Ça peur se soigner.
Faut au moins essayer.
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