lundi 23 juin 2025

Racine du Mal Étatsunien

Stephen Miller.

Il est crédité des politiques racistes draconiennes de l'administration gouvernementale actuelle qui inclut la tolérance zéro pour les immigrants et qui est aussi connu sous le nom familier de "séparation de familles d'étrangers". Il a aussi imposé un bannissement des Musulmans et la fin de DACA, un programme d'actions différées pour l'arrivée des enfants d'ailleurs. Avec Elon Musk, il aussi été accessoire à "purger" l'appareil fonctionnaire gouvernemental des ses travailleurs, ceux et celles qui n'avaient pas été jugé(e)s "loyal(e)" à leur agenda extrémiste.

Il avait fait sa marque auprès de l'idiot président pendant la pandémie en bloquant l'émission de la carte verte.

La xénophobie Miller commande la démonisation de tout immigrants, peu importe le rang. Ses États-Unis, il les veut blancs. Les impairs policiers sont hyper fréquents. Le groupe terroriste, la Gestaco ICE commet ses crimes passablement tous les 2 jours. Heureusement que nos téléphones savent filmer. La plupart sont libérés dans les 24 à 48 heures, mais la terreur a régné un temps. La guerre civile marmite doucement. 

C'est pas anormal. Ce qui l'est c'est l'abolition du ministère de l'éducation. Et dans un discours odieux de la semaine dernière, on l'a entendu s'en féliciter et parler de l'éducation des enfants, future. Des valeurs que ces extrémistes veulent imposer aux familles, pensant que tout le monde ailleurs est aussi extrémiste de gauche.  

C'est par sa haine anti musulmane qu'il s'est déniché un poste à Washington dans l'administration raciste du président actuel et en moins d'un an, il est devenu un des conseillers principal au bureau ovale. 

Par sa haine. 

Ces gens qui ont comme "valeurs" de trouver que la diversité, l'égalité et l'inclusion" sont l'ennemi du peuple, gouverne par la haine d'autrui.

La diversité c'est épurer la talent au nom d'un concept. À la limite, ça se défend un peu. Mais unifier, c'est nouer les diversités particulières, non les affecter par un ordre vain. Et ces gens au pouvoir ne sont là que pour diviser afin de mieux régner. Pendant qu'on se bat contre le groupe terroriste ICE, on ne vise pas la tête du président. L'égalité c'est primordial. Mais pas chez les riches. Pour être riche, ça prend des plus pauvres. L'inclusion, par définition, ça se réfère à l'action de rendre accessible et acceptable à tous, indépendamment de leurs différences (hantise des conservateurs, qui eux, par définition veulent "conserver" un ancien confort) un environnement, une société, une communauté. 

Dès 2016, il avait été placé sur la liste de dangereux à surveiller par la site Hatewacth pour sa détermination à démoniser tous les immigrants sans discrimination. Ils sont tous illégaux ou prompt à devenir criminel(le)s. Ça n'a jamais été plus facile que maintenant aux États-Unis d'exorciser son racisme. Il ne vous suffit que de vous masquer, de vous habiller en croisement de policiers et de militaires, de vous armer, ce qui est aussi facile que de s'acheter une liqueur, et de terroriser toute ombre de couleur de peau qui ne soit pas blanche pain. 

J'ai la peau naturellement foncée, tout le temps. Quand le soleil s'y met c'est pire. Je passe pour Italien, Libanais et ce que je suis, autochtone. Je craindrais les regards sur les routes des États-Unis.  Mais Miller a avisé le dément président qu'il n'a jamais été plus facile, en 2017, pour un étranger, de commettre des crimes aux États-Unis. Ce président con n'avait besoin d'aucune preuve. 

Il avait ce racisme dans le sang depuis longtemps. Toute sa famille a ça dans le sang amplement. Le racisme fleurit au travers de l'ignorance, d'idées pré conçues et de faussetés qui en naissent.  

Dès l'école secondaire, Miller défiait les étudiants d'origine latine de parler anglais. Et s'était battu avec la direction pour faire cesser les annonces dans les langues différentes. C'était Santa Monica, dans les jeunes années 2000. Des gens d'origines latines, il y en a beaucoup à Santa Monica. Proximité et chaleur commune aux gens du Mexique ou de plus au Sud encore. Il s'est vite joint aux regroupement racistes de David Horowitz. Et ne s'est jamais caché d'être complètement anti progressiste. 

Donc de le voir dire qu'avec "l'abolition du système d'éducation" (ses mots) on va enfin pouvoir inculquer les "bonnes valeurs" aux enfants...promet quoi au juste ?

Miller craignant la femme devant
Des jeunes filles qui comprennent qu'elles ne seraient qu'usines à bébés et reines du foyer ?  Des jeunes adultes qui craignent l'humain à la peau noire, la latino, l'asiatique ? le gars en chaise roulante qui est pourtant génie en mathématiques ? des jeunes qui apprendraient que le progrès, c'est fondamentalement mauvais ? 

Ceux qui connaissaient Miller avant qu'il ne soit élu disaient qu'ils étaient content de ne pas y être trop associés, afin que Miller ne nuise pas à l'élection du Taco Orange. Ce qui confirme qu'ils savent que Miller est une véritable bombe toxique. 

Une tache indélébile. Un ver dans une pomme. Et de l'essence à la haine. 

Quand les États-Unis ont attaqué l'Iran cette semaine pour le compte d'Israël, ils ont menti que leur programme nucléaire était anéanti. C'est pour détourner de leur soutien Israélien sur le génocide en cours en Palestine. Et c'est oublier que les É-U ont aussi l'arme nucléaire. Qui n'est pas un droit exclusif. Voilà encore quelque valeurs discutables internationalement. 

Ce gouvernement carbure à la haine. Ce que Miller appelle valeurs commence par la haine. Son patron aime trop. Bombarder pour la paix c'est aussi absurde que baiser pour la virginité.

Kamala Harris l'avait bien dit, "Avec lui, on sera en guerre dans 6 mois".

En fonction depuis janvier, nous sommes 6 mois plus tard, en juin. 

La machine contre laquelle Zach de la Rocha nous demandait de rager, c'est celle-là.

Celle des déséquilibrés en place qui osent dire sans rire qu'ile ne cherchent pas la guerre contre l'Iran. En les bombardant à mort.

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