Avec petit et grand F. Le déshonneur et l'absolument honorable. 6x. Et de technologie. Bref, de futur.
Aujourd'hui, la honte faite femme.
En mai dernier, l'ex femme du Congrès Brésilien, pro-Bolsonaro, donc croche et escroc, ultra-conservatrice, Carla Zambelli, fuyait le Brésil qui allait la condamner à 10 ans de prison. Ses biens étaient saisis et son nom se retrouvait sur la liste des gens les plus recherchés d'Interpol. Pour qu'on l'extrade et la ramène là où elle doit croupir: au bagne.
Ses véhicules, bateaux, maisons, avions (oui) étaient saisis, car aussi obtenus de manières obtus. Elle avait l'obligation de supprimer toutes ses identités sur les réseaux sociaux sous peine d'avoir une amende de 50 000 real brésilien (12 478$ canadien) par fois où elle allait pêcher. Elle avait clairement démontré son envier de toujours mettre les bâtons dans les roues de la démocratie, et de la loi, et a aussi prouvé qu'elle se foutait de la loi en fuyant les tribunaux. Elle avait déclarer vouloir vivre comme son patron, en être libre, malgré le lourd passé incriminant, aux États-Unis. Elle avait été condamnée pour avoir détourné les fonds publics et fait infiltrer électroniquement le système de justice afin de, justement, mieux la manipuler an faveur de la filou qu'elle est. Elle voulait entre autre falsifier des documents et placer un faux mandat d'arrestation pour faire arrêter un adversaire politique.Elle était, comme le criminel Donald Trump, reine désinformatrice.
Elle avait aussi écopé de 5 ans de prison pour possession illégale d'arme à feu. Qu'elle a pointé de manière menaçante en direction d'un voisin, lui ordonnant de quitter ou elle tirait, en s'avançant pointant le fusil vers lui.
Seuls les lâches ont besoin d'armes à feu comme dernier argument de discussion. On est jamais obligés d'être d'accord sur tout. Mais on a devoir d'honnêteté dans ce monde de menteurs.
Carla Zambelli est une députée d'extrême droite, proche de Bolsonaro qui a échoué lors de la dernière élection, comme son idole Donald Trump, de renverser le nouveau pouvoir en faisant un coup d'état, ratant son coup, et fuyant aux États-Unis depuis. Ses 10 ans de prison, à Zambelli, sont un mélange de fraudes de toutes sortes où le mot corruption s'y trouve à toutes les pages. Il y aussi appel à la violence contre d'autres élus (comme le suggère aussi, Donald Trump qui essaie de ridiculiser tout démocrate avec des faussetés).Elle se filme le 3 juin dernier. Disant qu'elle est protégée car elle ne pourrait qu'être condamnée seulement si on la prenait en flagrant délit. Ce qui est faux. Un géochercheur des réseaux sociaux trouve où elle se trouve par les bâtiments derrière et la plaque d'immatriculation floridienne d'une voiture qui passe derrière. Il publie le géocode de l'endroit exact où elle s'est filmé le botox en gros plan.
Pas assez gros plan. On s'y rend et on la trouve facilement, elle est arrêtée et expatriée au Brésil. Menottes aux poings. Le narcissisme la livrant à la justice par les réseaux sociaux.
Ici, la secrétaire d'État de la sécurité des États-Unis, Kristi Noem, qui ne sait pas ce qu'est Habeas Corpus, et qui est à la source des crimes commis tous les jours par le regroupement terroriste faussement légal, ICE, a eu une soudaine réaction allergique qui l'a forcée à l'hôpital.
Le timing étant parfait puisqu'elle devait aussi témoigner sur la légalité de ce qu'elle permet des illégaux agents de ICE qui arrêtent n'importe qui qu'ils jugeraient "woke". Rien de plus vague. Mais surtout tout ce qui a des traits de non-blancs.
Un cousin direct de Noem est sorti sur les réseaux sociaux afin de dire que toute la famille vote démocrate car ils ont honte d'elle. Qu'elle a toujours été ce que l'on voit. Relativement ignorante mais souhaitant péter plus haut que le trou. Comme cette fois où elle se vantait de sa robe Versace tout en prononçant "Verssasse" avec sa fière ignorance et jurant que c'en était la prononciation.
Le même jour où je vous écris tout ça, une Femme fait toutefois honneur. Sophie Cunningham. Joueuse de basket coéquipière de la surdouée Caitlin Clark. Cette dernière est l'une des meilleures joueuse de basketball de l'histoire de ce sport, aux États-Unis. Il devient donc difficile de la contrer. Une joueuse adverse n'a pas trouvé mieux que de lui envoyer un poing au visage, ce qui a violemment agressé Clark. Qui lui a renvoyé le coup de poing. Une 3e joueuse, de l'équipe adverse de Clark (& Cunningham) est venu ensuite plaquer et renverser Clark au sol.
Les arbitres avaient plutôt perdu le contrôle du match et ont aussi plus ou moins manqué ce qui s'est passé en direct. Ils n'ont pas vu le coup de poing initial ou ont jugé qu'il était involontaire. Seules Clark et celle qui l'a poussée au sol, ont été alors expulsées du match. Mais par la suite, Sophie Cunningham coéquipière de Clark l'a défendue. Quand celle qui avait donné le coup de poing initial est montée à 1 vs 1 face à elle, cette dernière a foncé de l'épaule sur elle, dissipant le doute sur ses mauvaises intentions en général, et Cunningham la propulsée au sol comme on l'aurait fait à la lutte. Ce n'était pas du basketball.Mais Cunningham a beuglé aux autres filles de ne plus jamais toucher à leurs stars.
C'était aussi, plutôt honteux.
Mais quelque part plus digne que les deux cas présentés tout juste avant.
Qui sont 2 femmes coupables d'atroces hommeries.
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