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C'est une rencontre entre deux adultes, pas un ring de boxe. Ça dit tout de nos moeurs politiques actuelles. Il y avait beaucoup d'action dans les visages. Du Jim de The Office chez Carney très souvent.
Carney a été très habile. Il a souligné le déraillement mental de son hôte avec ruse et talent. Ce à quoi on a assisté à l'art du "no deal". En direct. Où pendant au moins 90 secondes, largement rediffusé de par le monde, Carney a humilié le dément États-Unien sans qu'il ne le réalise lui-même.
Carney a gagné son élection au Canada en grande partie en raison de l'opposition majeure à Donald Trump et tout ce qu'il représente. Le jour où Carney a été élu, le président des États-Unis se proposait sur les réseaux sociaux...attachez votre tuque, d'être lui-même le premier président d'un 51e État fictif, dans un moment de débilité constitutionnelle, ce qui a sonné le glas de la sécurité nationale ici-haut. Ce qu'on a vu mardi dernier était un vieil homme qui avait perdu la tête, et un autre, de 10 ans plus jeune, veiller à ce que rien ne dérape dans les incongruités cognitives qui allaient naître de la bouche du gâteux monsieur. Carney a dit "non" de toute sortes de manières possible à ce que disait son hôte, devant lui, et l'autre, usé du cerveau, a même avalisé avec des "It's true", contredisant directement ce qu'il venait de clamer. Carney parlait poliment, tout sourire, comme un dompteur de lion habile, ayant dompté la bête. Peu de président dans l'histoire de la télévision d'Amérique du Nord, ont autant perdu en 90 secondes, aux yeux du monde entier, comme ce président à perdu, la semaine dernière."Attaquant" avec des polis "If I may", aussi British que Canadiens, Carney a souligné avec intelligence le "talent" en immobilier de son hôte, que certains endroits ne seront jamais à vendre. Ce à quoi il a vite aquiescé, tombant dans le piège. (strike 1), ajoutant qu'ils étaient assis eux-mêmes dans une ancienne propriété britannique, il a à nouveau mis l'autre genou au sol avec "it's true" (strike 2). Et concluant en rappelant qu'il avait discuté avec les propriétaires du Canada (nous) toute la dernière campagne et le constat était clair, ça n'arriverait jamais que le Canada ne cesse d'exister. Il lui a passé le K.O. en le narguant sans qu'il ne le comprenne en disant que sa présidence a revitalisé la sécurité de tous les pays du monde entier, ce qu'il a stupidement pris comme un compliment en disant un 3e It's True. (K.O.). Le monde entier se protège désormais de toi, imbécile ! Le vieux dément l'a aussi touché du bras, on le sait DJT est un "toucheur". Criminel de surcroît.Le grille pain au mauvais toupet essayant de comprendre le jazz a dit qu'il ne fallait dire jamais.
Ce à quoi Carney a dit quelques 51 fois, "Never, never, never, never, never, never, never,never, never, never, never, never, etc.
En riant.
Mais pas autant que le gens à la maison et dans le monde.
À part peut-être aux États-Russie (sic)Où ça pouvait peut-être un peu pleurer.
Parce que celui qui venait aux É-U pour construire des ponts avec un dément dynamiteur, le dirigeait vers le dynamitage de construction.
Même si il se comporte comme le Coyote avec Roadrunner.
Avec sensiblement les mêmes résultats. Si ce n'est pas maintenant, c'est à moyen et long terme.On entend le président errer mentalement tous les jours, mais lire ce qu'il dit est encore plus lourd. C'est du rien délirant. Essayer de trouver les écrits de ce qu'il dit. C'est plus illisible qu'à entendre.
Il est définitivement au seuil de se présenter un jour avec ses petites culottes par dessus ses pantalons sans s'en rendre compte, en public.
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