dimanche 3 avril 2011

Chiens de Faïence

Ce serait comme ça entre lui et moi.

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En 1970, une formation politique du Pakistan Oriental revendique l'indépendance de ce qui va devenir le Bangladesh. Il y existait alors deux Pakistan, l'oriental (aujourd'hui le Bengladesh) et l'occidental (qui est le Pakistan actuel). Depuis sa partition des colonies anglaises en 1947, le Pakistan est surtout Islamiste. Le Bangladesh est enclavé de partout par l'Inde. Les habitant indiens du Bengladesh réclame plus de représentatitivité au pouvoir. Bien entendu l'Inde qui encercle le Bengladesh les appuieras.
La guerre d'indépendance du Bengladesh est sanglante, extrèmement violente et sera officiellement la troisième guerre d'importance impliquant Pakistanais et Hindous.
Indira Gandhi appuie le mouvement indpendentiste contre les Pakistanais qui prétendent avoir l'appui des États-Unis (vrai) et des Chinois (vrai ausi dans un rôle d'intermédiaire entre les deux pays en guerre ).

Kissinger se méfiera toujours de Gandhi qu'il juge comme ami de l'URSS.

Malgré la création du Bangladesh depuis,  Pakisatnais et Hindous ne sont pas de naturels amis.

Comme moi et lui.

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En 1541, Henri VIII, d'Angleterre prend le titre de roi d'Irlande. Les colonie anglaises commencent. Les irlandais ont profité de la première révolution anglaise (1641-1649) pour tenter de recouvrer leur indépendance mais se fait massacrer et est davantage l'esclave des anglais. Les terres du nord du pays sont même attribuées aux colons d'Écosse et d'Angleterre.Jacques II tente à nouveau en 1690 de faire de l'Irlande un pays mais y est aussi écrasé par les Anglais. Guillaume III instaure alors des lois "anti-catholiques", forme polie d'évincer peu à peu les irlandais de souche. 

Inspiré par les États-Unis et la révolution française, une nouvelle tentative est tentée en 1798, la répréssion est terrible et en 1800, les Anglais annexent carrément au Royaume-Uni le territoire irlandais. Ceci est en parti illustré dans un merveilleux/terrible film du merveilleux/terrible Ken Loach.

Le 19ème siècle est marqué par  une émigration massive (dont mes arrière grands-parents) majoritairement pour l'Amérique. En 1905 est crée le Sinn Féin, le parti indépendantiste irlandais. En 1918, le premier gouvernement entièrement irlandais est élu en chambre. Le Sinn Féin déclare l'indépendance mais les anglais ne coopèrent absolument pas. L'Irlande sera un dominion de l'empire britannique. 6 des 9 comtés de l'Ulster resteront britanniques. Une guerre civile perdure jusqu'en 1923.

L'Irlande réussit à rester neutre dans la deuxième grande guerre, interdisant même à l'Angleterre l'utilisation des ses ports et de ses militaires.

Depuis le 18 avril 1949, l'Irlande est officiellement "la République d'Irlande" et ne fait plus parti des pays du commonwelath.

Les anglais et les irlandais sa,coodmondent mais se détestent très facilement.

Don Cherry se prétend de racine irlandaise.
I know I am.

Je ne le connais pas intimement le Don mais suffisament pour l'avoir dans le cul.
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 Lundi dernier, au coin des rues Jean-Brillant et , dans une voiture noire plaquée du Québec, lunettes fumées et chapeau noir sur le crâne: Don Cherry. Il est au volant de la seule voiture attendant la lumière et regarde, satisfait comme sa bouche avec une moitié de sourire le démontre la horde d'étudiants qui traversent la rue vers le pavillon 3200.
Je suis l'étudiant le plus près de sa voiture. J'ai amplement le temps de le voir et le reconnaître. Sans même réfléchir, en passant devant sa voiture je le pointe calmement de mon index en passant devant sa voiture. Il tourne la tête vers moi. Je tourne ensuite mon pouce vers le bas tel un empereur romain, aux temps des gladiateurs, ordonnant la mort d'un esclave. Je n'attends même pas sa réaction tellement le mépris m'ordonne de ne pas regarder plus longtemps l'ignominable* personnage.
Entre Don Cherry et moi se serait Inde/Pakistan
Angleterre/Irlande
Boston/Montréal
Chara/Pacioretty

Il a stationné sa voiture devant le pavillon.
Je n'ose pas croire qu'il venait y donner une conférence...
*Je sors le dictionnaire du mépris prochainement avec Stephen Harper sur la couverture, je vous expliquerai alors le nouveau vocabulaire.

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