Ces gens, relèvent de la constitution des États-Unis, de la loi, pas de l'humeur d'un prédateur dictateur. Le FBI aura beau le rencontrer, eux aussi demandaient aux gens, de ne pas commettre de crimes.
Ceci confirme par 1000 que les criminels gèrent l'école. Et qu'on cherche à criminaliser les élèves, les parents et le personnel scolaire en renversant l'ordre moral. Bouclier de la religion au bras comme armure hypocrite. Les criminels sont au pouvoir.
Tout le passage d'Elon Musk dans le prétendu "ménage gouvernemental" n'était qu'un chose: Effacer les traces. Non seulement ne fait-il aucun doute que le nom du président sera sévèrement caviardé sur de nombreuses pages majoritairement noires quand le dossier Epstein aura fini d'être magouillé, mais en plus, il trouvera assurément refuge dans le nouveau fourre-tout, fumée aveuglante des 10-15 dernières années, "la menace à la sécurité du pays". Assuré qu'il se cachera derrière ça afin d'expliquer pourquoi tant de noms sont cachés.
On fourre le Canada sur le commerce du bois au nom..."de la sécurité nationale". On a tout renégocié l'escroquerie qui a remplacé l'accord de libre-échange original, au nom de la polyvalente "sécurité nationale". Faire peur. Ca existe depuis toujours. Quand l'église a vu qu'elle perdait le contrôle, elle a inventé le diable. Contrôler par la peur.
Et "le hasard" voudra que ceux qui ne sont pas au pouvoir, les Démocrates, ne pourraient pas être un danger à la sécurité nationale, ils ne sont pas en position de décideurs pouvant débalancer le gouvernement en trainant en cour.
L'État mental du président des États-Unis est catastrophique. Pour moins que ça, bien des gens ont perdu leur boulot. Il a appelé à maintes reprises, le même jour, la mort des 6 démocrates qui demandaient de suivre la loi constitutionnelle et non de suivre le despote. Je ne comprends pas que ça ne suffisse pas à le destituer sur le champs. Au moment d'écrire ceci, on a passé aux États-Unis le Charlie Kirk Heritage Act, peu importe ce que cette tache d'huile peut laisser au monde. Est-ce le droit d'être raciste et misogyne en paix ?En si peu de temps, on a maintes fois validé que les victimes comptent peu et que les abuseurs ont le champs libre.Quand on a voulu parler de ce journaliste découpé en morceau sous les ordres de Mohammed ben Salmane, qu'on a reçu ici et en bas comme une star, on s'est attaqué à celle qui posait la question du drôle d'intérêt pour un tel barbare.
L'Ukraine s'est fait proposer des abus supplémentaires.On ne parle 100% pas de victimes des prédateurs autour d'Epstein.
Y a trois victimes ou groupe de victime dans les 3 énoncés. Ils/elles ne sont pas sous les projecteurs ni dans les intérêts de soutien. On ne semble plus comprendre les notions de culpabilité et d'innocence. On boit du déséquilibre tous les jours.
Il est si mentalement déséquilibré, le président dément, qu'il régurgite tous les jours (et documente pour le futur) l'état piteux de son cerveau. Il a même republié une publication qui exigeait sa destitution. Narcisse a vu son nom, s'en est excité, a vite republié. Bravo, crapaud.
Dans le mythe Grec, Narcisse tombe amoureux de son propre reflet dans l'eau, sans comprendre que c'est lui-même. Incapable de s'en détacher et de répondre à cet amour impossible, il dépérit et finit par tomber à l'eau et y meurt, noyé.
Nous somme très nombreux à rêver au lac Desnoyers.
Ce surréalisme nous gagne aussi. Marwa Rizqy semble avoir été la personne honnête coincée chez les malhonnêtes qui se débattent devant les micros sans convaincre personne depuis la semaine dernière. Et qui est suspendue selon-vous ?
L'honnêteté est devenue subversive.
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