jeudi 19 janvier 2023

Huskys Louches & Lapins Russes

Evgueny Prigojine est un oligarque Russe. En 2014, il fonde et finance l'orgnaisation paramilitaire Groupe Wagner.  Nom choisi soit en hommage au compositeur allemand du troisième Reich, Richard Wagner, soit en hommage à Robert Wagner qui a dirigé le South Africa Institute for Maritime Research, pendant la guerre froide. Soit les 2. Le nom a été choisi par le lieutenant-colonel Dmitri Outkine néonazi déclaré. Et pourtant on dit que c'est en Ukraine que les néonazis se trouvent...

Prigojine est très proche du pouvoir Russe étant à la tête de l'IRA (pas l'Irlandaise) l'Internet Research Agency, une usine à désinformation et à propagande sur l'internet. Ils ont presque mis au pouvoir, à eux seuls, Donald Trump, via Facebook, en 2016. Plusieurs appellent ses affaires l'usine à trolls. C'est assez juste. La société militaire privée n'a pas de reconnaissance officielle en Russie, par souci de non-transparence, et la première mission, en 2014, qu'on leur a confié a été de prendre le Donbass et reprendre la Crimée à l'Ukraine. La Russie n'a jamais reconnu avaoir engagé le Groupe Wagner, mais ceux-ci ne pouvaient pas être davantage à la solde de Vladimir Poutine.  Celui-ci a d''ailleurs décoré publiquement et s'est souvent fait prendre en photo avec lui. Prince Andrew/Jeffrey Epstein genre de complicité. Aussi sain. Pire en fait. Impactant des nations entières. Dont la leur. Très négativement. 

Depuis que les Russes ont pris conscience que leur tentative de génocide de l'Ukraine ne serait pas un succès de quelques semaines, Prigojine a fait une tournée des prisons de Russie afin de proposer aux prisonniers d'être chair à canon sur le front. Prigojine rime bien avec Putin. Et vermine. 

Le Groupe Warner a diversifié ses opérations en étant de pied d'oeuvre avec Bachar Al-Assad, un autre abject personnage, dans la guerre civile syrienne ainsi que dans d'autres conflits à travers le monde. Composé de soldats si socialement déséqulibrés, il n'est pas étonnant qu'on les ait accusé d'exactions et d'immoralités au Mali, en Libye et en Syrie. En 2021, l'Union Européènne, plus près de ce que s'y passe, et mieux informés, les ont sanctionné et reconnu non fiables. Le groupe Wagner est un élément clé de la politique intérieure du Kremlin. Son financement, est désormais lié au budget de défense du ministère Russe. Ler groupe a créé ce qui était d'abord une coquille vide, la société Evro Polis, axée sur le domaine ptérogazier et l'exploitation minière.  Avec la Syrie et le groupe jihadiste État Islamique, on se partage la tarte pétrolière. Un belle bande de rats 

En septembre dernier, Prigorine, de plus en plus public, dira de sa milice que ce sont des héros, de vrais patriotes. Même si composée dernièrement de prisonniers à qui on a promis la liberté.

Andrei Medvedev, 26 anest un ancien mercenaire du Groupe Wagner. Il a été témoin de l'éxécution sommaire d'Ukrainien, assassinés simplement parce qu'ils étaient Ukrainiens.Il a aussi été témoin de meurtres de soldats du Groupe Wagner ordonnés par leur supérieur, si on résistait ou désobéissait aux ordres. Parfois en groupe entier. Non convaincu de sa propre mission, et craignant qu'on ne prenne ses doutes pour de la rébellion, il a légitimement craint pour sa propre sécurité. Il a choisi de quitter, vendredi deenier, les rangs, et de fuir en Norvège, où il demande l'asile politique. Son visage est très à découvert et sa vie, à partir de maintenant, perpétuellement logée dans la crainte de l'empoisonnement soudain. 

Partout dans le monde. 

Combien sont-ils de Russes à vouloir l'imiter ?

Il est si triste d'être Russe de nos jours.Encore pire, Ukrainien. Mais de ce côté-là, en mode survie, on carbure à autre chose. La fierté est une condition sine qua none de la survie d'une collectivité. Et l'instinct de survie est dépisteur de talents. L'Ukraine tient très bien le fort face aux agresseurs. Pourra-t-elle le faire encore longtemps ? On ne sait trop.

Mais ce qu'on sait, c'est que la Russie regorge de beaucoup beaucoup beaucoup de mal. En raison de son chef  Vladimir. 

Au hockey de la LNH, les joueurs, dans le réchauffement d'avant-match, portent quelques fois des gilets qui veulent rendent hommage à des héros. Celles et ceux qui se battent conte le cancer, celles et ceux qui sont soldats, celles et ceux qui sont gays et ainsi de suite. 

Je vous nommé trois groupes de véritables héros. Dont les défis quotidiens somt innombrables. 

Le défenseur (Russe) des Flyers de Philadelphie Ivan Provorov, à l'instar de sa probable idole Vladimir Putin qui veut criminialiser l'homosexualité, a promptement refusé de porter le chandail de pratique en support à la communauté LGBTQ+. Sous prétexte que c'était contre ses croyances et sa religion. S'affichant ainsi non plus comme adversaire, mais comme, ennemi de l'humanité.

Ce que quelques Russes ciblés sont déjà d'emblée. 

Et on dira que la religion est encore quelque chose de bien. Comme ce bouclier qui ferait pardonner la haine.

Comme si les effluves Russes ne puaient pas déjà assez, cette larve de chef de la diplomatie russe, Sergei Lavrov a bien fait rire (jaune) hier en disant que l'occident agit envers les Russes comme Hitler contre les Juifs. Tentant du même coup d'inverser à 100% la vraie nature des choses. 

Le génocide, ce sont eux qui l'exercent. 

Pas l'inverse. 


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