vendredi 29 mars 2024

D pas pour Différent, Pour Déficience

Tucker Carlson des pauvres Stéphan pas de E Bureau

Maria Mourani

Pier pas de RE-Karl Péladeau

Richard Martineau

Autant de voix publiques qui voudraient qu'on les respectent mais qui déguisent une déficience intellectuelle majeure qu'il sera sage d'étudier un jour dans les cours de communication. 

Le premier plaide "au droit à la différence". Mais si moi je vous dis que la mairesse Valérie Plante est une schtroumpfette ou que Sidney Crosby devient Jedi, est-ce que ça fait de moi un homme sain d'esprit ? Stéphan pas de E n'a pas dit ça, mais est relayeur de ceux et celles qui disent que la femme d'Emmanuel Macron, qui a accouché deux fois, est un homme

Sans rire. Stéphan pas de E Bureau ne fait maintenant plus que des apparitions là où la complosphère marmitte. Ce probable impopulaire scolaire voit les millions d'abonnés sur ses comptes de réseaux sociaux et tombe dans le piège Fox de surfer avec les antivaxx, les différents fous de chaque village pour garder ses chiffres qui sont l'ampoule qui va faire griller le papillon. Bureau ne peut pas nier qu'il n'est pas enchainé aux chiffres, il présente Candace Owens, une grave complotiste déséquilibrée des États-Unis par son nombre d'abonnés. CE QUI NE VEUT RIEN DIRE. J'étais abooné à Donald Trump sur Twitter et c'était par zoologie. Pour en rire. Lui envoyer des vannes (une finalement, il a été suspendu dans la même semaine).  

Bureau fait aussi le tour du monde pour aller boire dans l'eau des complotistes. Et faudrait s'offusquer que Radio-Canada en ai eu assez de son éloge à la connerie ? Stéphan pas de E (il est différent) Bureau sévit dans les balados où il fait la tournées de idiots. Dont il tente de rehausser le discours. À qui il donne une valeur. Il ne confronte pas l'idiotie, il rame en gondole avec eux. Pour faire monter ses chiffres sur les réseaux sociaux. Plus personne, moi le premier ne devrait lui accorder de l'importance.

La seconde est journaliste au très malade journal de Montréal. Et reprend la thèse de Stéphan pas de E Bureau en plaidant aussi le droit à la différence...

(...) 

La sexualité de la Première Dame de France n'est pas une opinion. Continuer de s'étendre sur le sujet c'est comme si je vous revenais sur la mairesse Plante et ses cheveux blonds de schtroumpfette se cachant sour une crinière noire. Croyez-moi ses bleus sur les jambes, c'est pas les fois où elle se cogne contre les bureaux, la porte de la voiture qui s'ouvre ou le cube de la cuisine. C'est le maquillage qui ne tient plus. 

Si je vous dis que le Journal de Montréal est malade c'est parce que je sais qui est le patron de l'asile. C'est aussi un patient. Pier pas de RE Karl (il est différent) Péladeau a récement sortie sa tête de marmotte pour parler de lui-même Brian Mulroney lors de l'hommage qu'on lui rendait à l'église. Brian Mulroney, ancien ministre conservateur canadien est décédé il y a peu, on l'a très publiquement célébré, et PKP a été invité pour en parler au micro. Il a détourné l'attention. S'exprimant gauchement sur ses réalisations à lui autour de Brian. PKP n'en est pas à ses premières grandes erreurs de jugement. À la lumière des titres de ses chroniqueurs, il semble clair qu'une ligne directrice est forcée au Journal de Montréal, qui lui appartient. 

Là où on a la maladie de l'obssession au woke. Mot dénaturé. Le "punk" des années 2020. Le mot qui fait peur à ceux et celles qui ne comprennent plus le monde qui les entoure. Je n'invente pas ce que je vous dis, le mot woke, mot ABSOLUMENT  imprécis, est obssessivement dans la tête des chroniqueurs du J de M pour parler de rectitude poilitique semble-t-il. Ce qu'expose ce journal, depuis plus de 3-4 ans, avec Rochard Martineau en tête, mais Sophie Durocher, Maria Mourani, Joseph Facal, Lise Ravary, Mathieu Bock-Côté, je ne devrais même pas les nommer, les patients d'un asile ont le droit à l'intimité, est une véritable obssession. Malsaine. Le mal pointé est moins important que le malaise écrit.

Richard Martineau m'a fait rire cette semaine en titrant avec le visage du vieux monsieur dans sa chaise roulante regardant le jeune en skateboard "La fin du wokisme?...

Très drôle. 

Une peur que vous vous êtres inventé, vieux monsieur ? 

Les vrais influenceurs sont les artistes qui vous parlent d'une couleur qui n'existe pas.

Et qui réussissent à vous la faire voir.

Ceux-là sont d'une gens d'une immense valeur. 

Mais nous parler de Jedi ou de schtroumpfette tous les trois jours....

Christ, peut-on adulter un peu ?

C'est Donald qui a rabaissé le niveau de neuronnes ?

Duck, oui, Donald Duck.

Dans le métier de chroniqueur et de preneurs de pouls social, vous vous méritez un D.

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