Je voyais sur les réseaux sociaux un gars en manque d'attention (et par la suite d'amour) dire de toute son arrogance les 10-12 choses dont les Européens sont jaloux de "l'Amérique".
Il y avait tant de niveau de "wrong" que je ne savais pas par où commencer. Je ne lui ai pas répondu quoi que ce soit. J'ai préféré venir en parler ici. Plus longuement. Les États-Unis sont malades et ne le savent pas complètement.Tout d'abord, "L'Amérique" je ne le répèterai jamais assez, et ce, jusqu'à ma mort, ce sont 3 territoires d'un même continent. Surtout pas les États-Unis. Nous sommes plus nombreux, dans les trois Amériques, nous sommes 478 millions qui ne sont PAS des États-Unis, en Amérique, ils sont 338 millions. Sur plus petit. Alors, oui, ça finit par se marcher dessus, les uns les autres.
Faut-il alors vraiment se surprendre de les voir se tirer entre eux tous les jours. Se tirer dans le pied, entre autre avec les tarifs extorsionnaires promis vendredi. Mais aussi se tirer au M4. Ou au Glock. J'écoutais un balado cette semaine où quelqu'un confessait en avoir tué un autre. L'assassin était en affaires avec un partenaire qui savait que si il disparaissait, la compagnie lui appartenait. Naïvement, au volant de sa propre voiture, il s'est laissé entrainer dans un guet-apen, et du banc du passager, un complice du partenaire d'affaires a voulu pointer son arme au visage de cet homme. Qui avait toujours un glock dans sa voiture. Le conducteur a été plus rapide et lui a éclaté le cerveau. Le partenaire d'affaire, sur la banquette arrière était déjoué. Le cadavre est resté sur le banc du passager longtemps. Le tueur n'a jamais fait un jour de prison. Légitime défense. Il avait son glock.Shane Tamura avait aussi une arme. Un M4. Toujours facile de se procurer une arme aux États-Désunis. Aussi facile que de se trouver du canabis au Canada. Mais personne ne meurt du Cannabis. Ça soigne même. Tamura a choisi de se présenter à New York avec son arme et de se rendre au bureau de la NFL dans le but de liquider le plus de gens possible. Il se disait victime de multiples commotions, lorsqu'il était lui-même, joueur de football, et que son cerveau en était irréparablement endommagé à jamais. Il a aussi choisi de retourner l'arme contre lui-même. C'est là qu'on a compris ses intentions. Une note qu'il avait sur lui. "Étudier mon cerveau, je suis désolé". Un policier et 3 innocents sont décédés pour avoir été au mauvais endroit, au mauvais moment.Aux États-Unis, y a ça. Le mauvais endroit au mauvais moment. Ça peut être absolument partout. Dans les classes d'école, dans les épiceries, dans les concerts, les centre d'achats, dans le coeur de Manhattan, dans les bureaux d'une firme de courtage quand un déséquilibré se trompe d'étage pour faire cracher son arme. C'est ce qui est arrivé à Wesley LePatner, 44 ans, au mauvais endroit, au mauvais moment. Parce que ce n'est jamais le fusil, n'est-ce pas, bande de morons, c'est toujours la personne qui le tient n'est-ce pas ?
ET SI IL N'AVAIT PAS ACCÈS À UNE ARME COMME ON A ACCÈS À UN PAQUET DE GOMME ?
Il a demandé qu'on étudie son cerveau qui serait si endommagé qu'il faudrait s'y plonger. Sinon d'autres pourraient se faire plonger dans la mort pour rien. Il a tant voulu préserver son cerveau imparfait intact que pour s'enlever la vie, il s'est tiré dans la poitrine. Souffrant beaucoup plus longtemps avant de crever, qu'il ne l'aurait fait autrement.Il souffrait mentalement depuis si longtemps.
Vous savez ce sont les cerveaux de qui que je voudrais aussi voir se faire étudier un jour ? Tout ceux qui regardent Israël effacer un peuple sous leur yeux. Non seulement sans rien faire, mais en les commanditant. Comme nous, le Canada. Et bien sur les É-U, qui SONT Israël. On a beau dire qu'on reconnaitra la Palestine en septembre, on est 150 pays à le faire sur terre et ça ne change rien. Tant que le diable des États-Unis s'y trouve, à quoi bon ?
On a des signes tous les jours de la profonde démence du président des États-Démunis. Je le répète Israël EST les États-Unis. Je ne pensais pas être témoin de mon vivant d'un génocide public. On laisse mourir de faim Gaza. Le mongol des États-Unis dit sans se cacher "wack them out!". En parlant des Palestinien(ne)s. Rien ne pourrait être plus dégueulasse.Sauf peut-être des adultes couchant avec des enfants. Comme on soupçonne ce même ogre de président.
Le mal humain se déploie à une telle vitesse sur le Globe qu'on arrive pas à se rappeler des derniers outrages.
Il y aura des tonnes de prières pour les victimes de New York. Qui devraient être autant de révoltes aux États-Unis.Ça fonctionne si bien vos prières depuis toujours n'est-ce pas ?
La nausée n'est pas que nauséabonde, elle est révélatrice.
Il faudra étudier un jour tout ce mal impuni sous nos yeux. La déshumanisation en direct. La répétition de ce qu'on fait les Allemands contre le peuple Juif.Je ne suis pas le seul à le penser. La cour pénale internationale, la Cour Internationale de Justice, dit que ça marche, ça se présente, ça se dessine comme un génocide et appeler ce confit ainsi est "plausible".
Ce n'est pas que plausible. C'est ce qu'on voit.
Laissez les gens crever de faim et tuer femmes et enfants. Rien n'est moins humain. Leurs cerveaux méritent étude quand les bouchers trépasseront aussi.