Les règnes de ses fils Charles IX et Henri III auraient aussi portés fortement son souffle d'ancienne reine de France.
Quand Hillary Clinton a perdu ses élections contre l'ignorance et la mysogynie, elle a aussi perdu peut-être un dernier tier de ce vote parce que certains ne voulaient pas réélire pour un troisième mandat, Bill Clinton. Si devenu le premier, Premier Mari, (Premier Homme ?), il ne fait aucun doute qu'Hillary élue, Bill aurait été plus qu'un allié ( je ne pourrais pas ajouter fidèle) mais surtout un conseiller qui aurait partagé son expérience de 1992 à 2001 comme président des États-Unis. Ce qu'il a assurément fait durant sa campagne. Mais pas tout le temps, car à au moins à deux reprises, il l'avait contredite. Ce qui confirmait deux choses: Hillary et lui ne sont plus si proches l'un de l'autre depuis Monica (C'est CERTAIN, qu'ils dorment dans 2 lits) et Bill n'arriverait pas à rester passif et comme décoration de sa Femme au pouvoir. Il aurait très certainement tenté de tirer quelques munitions de son salon en passant par sa tendre et cocue épouse.(...)Je n'avais pas besoin d'insister sur le côté cocu. Mais là où je veux attirer votre attention c'est sur ce que le Parti Libéral Québécois nous mijote comme plat dans sa cuisine sous la direction du cuisinier Pratt.
Le retour de Charest. Ou plus précisément, le retour d'UN Charest. Antoine Dionne-Charest.
Le Parti Libéral a annoncé qu'il n'aurait pas de Chef avant 2025. Ce qui parait loin. Mais justement, connaissez-vous Antoine Dionne-Charest ?Outre, être le fils de Michèle Dionne et Jean Charest, ancien Premier Minus du Québec, le nom d'Antoine apparait dans la liste du personnel du Parti Libéral pour la première fois fin novembre 2014. Depuis un an et quelques mois déjà, Jean Charest, alors Premier Minus du Québec, se fait accompagner de son fils dans ses activités politiques et même dans de très officielles réunions de députés. Antoine travaillera (ad-hoc-leurs mots) auprès du ministre Sam Hammad et un peu partout au PLC. Il avait fait ses classes dans l'aile jeunesse du parti.
De nos jours, il est du comité de relance (de 14 personnes) afin de trouver un(e) nouveau/nouvelle chef(fe) au parti depuis le départ de Dominique Anglade, en 2022. Il n'y a que des interims depuis ou des gens clairement pas intéressés par la chefferie. 15 mois et demi est une bonne durée pour faire connaître quelqu'un.
Et je soupçonne que le PLC veut nous faire découvrir Antoine mais marche sur des oeufs en raison de son nom de famille. Jean Charest est un tricheur reconnu. Il est diplômé en droit et sait donc, vraiment comment en jouer. Et il le fait habilement. Teflon face aux accusations. Réussissant même à se faire payer par l'État malgré des ignominies difficiles à prouver parce justement, il sait se couvrir. Il faut lire PLQ Inc. pour réaliser à quel point, il sait habilement se jouer de la justice. De plus, corruption et collusion ont connu leurs années de gloire durant son règne au pouvoir. Certains ripoux se faisant même élire au sein du parti et héritant de poste de ministre. Jusqu'à ce qu'on démasque leur pourriture et qu'on les cache ailleurs. Les Libéraux au Fédéral comme au Provincial sont souvent coulés dans ce moule.Le pouvoir est toujours un bureau où se trouve une distributrice de triche quelque part. On peut facilement ne jamais en tenir compte. Parfois on peut y mettre quelques sous pour goûter ce que ça nous livre. D'autres fois, on a la clé pour ourvir la machine et se servir en tout temps. Jean avait une bonne clé. Il a été Premier Minus pendant plus de 9 ans, chez nous.
Mais Tony. Qu'en est-il de Tony DC ? Officiellement "consultant en affaire publiques", mots franchement fourre-tout, Antoine, comme papa, est très ami avec Brian Mulroney, qui avait été employeur conservateur de papa dans les années 80-90. Antoine est parfait bilingue, articulé, a écrit des essais politiques ici et là, disant entre autre qu'il fallait que le parti Libéral retrouve ses valeurs et soit repimpé. Texte justifiant et rendant adéquate sa présence dans le comité de relance du parti. Bel orateur, capable de débattre avec aplomb et cohérence, il ne serait pas surprenant qu'on ait maintenant envie de le voir être le leader nouveau du vin nouveau.Le principal intéressé a dit ne pas vouloir d'une chefferie plusieurs fois par le passé, mais dans le présent proche, il garderait une porte ouverte. Le week-end dernier, il disait vouloir être député. Mon flair autochtone me laisse croire qu'il aurait demandé 15 mois pour se faire connaître, pour s'inscrire une pertinence, et se faire un prénom.
Parce qu'une moitié du nom de famille, on le connait trop.
Quand Jean a pour la première fois tenté une course au leadership, en 1993, au Parti Conservateur, il avait dans la mi-trentaine, comme Antoine, présentement. Quand il est devenu chef du Parti Libéral, celui-ci avait besoin d'une renaissance. Comme le PLC maintenant. C'était il y a 25 ans.Il y aurait d'autre chemins déjà foulé par papa que Tony, emprunterais...?
Tony est de plus en plus présent et prend la parole face aux journalistes comme si il se pratiquait. Sur LCN, il a débattu avec le clown funambule cherchant toujours la tarte à la crême Mathieu Bock-Côté. Il s'expose publiquement, lentement.Soyons réalistes, qu'il soit plusTout comme de Médicis ou Clinton, une nouvelle chèfferie Charest aurait peut-être son marionnettiste.
Mais il n'est pas dit que ça pourrait être aussi complètement autre chose.
Regardez Robert Kennedy Junior...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire