E. pour sa part, avait perdu l'amour. Le père de leurs enfants. Et en a fait une dépression. A. qui se faisait aussi appeler à la fois Cowboy et à la fois "dragon pur" (quelle ironie) a écopé de 8 ans de prison. F-J. 10 ans de prison. D. & S. ont écopé de 3 ans de prison. C. a écopé d'une peine de 6 mois avec sursis à purger, à domicile.
Ça n'avait pas fait l'actualité autant qu'hier. En tout cas, je ne l'ai pas senti si près autant qu'hier. Je suis relativement nouveau sur Twitter. Je n'ai pas deux ans de vie sur le fil, encore. Je n'ai pas une tonne d'ami(e)s et ne tient pas à en avoir tant non plus. Je dirais que je bloque nettement plus (tout ce qui est sponsorisé, entre autre) que je me greffe des abonnés ou encore que je m'abonnes moi-même. J'essaie de faire des chiffres "ronds" avec mes abonnements et mes abonnés. 575 abonnements. 235 abonnés. Mais je n'ai pas le contrôle sur ceux et celles qui s'abonnent à moi. Il est à moi de les intéresser assez pour ce faire. Je ne suis que moi-même. C'est bon pour 234 ou 236 personnes. Parmi celles-ci, E. et A. Je ne les avais jamais associés l'un à l'autre. Souvent, je voyais que E. faisait allusion "au père" de leurs 2 filles, sans jamais comprendre que A. était ce père. Je ne sais plus quelles étaient mes interactions avec A. puisque son compte a, depuis hier, été suspendu. (Probablement par lui-même anticipant les ragots du jour). Hier, 4 des 5 co-accusés ont été se faire entendre en cour d'appel dans le but de faire réduire leurs peines. A. a été identifié parmi mes communications Twitter du jour et plusieurs sont restés estomaqués. Moi le premier. Quelle ironie de lire le mot "pureté" dans son pseudonyme. Mais voilà, Twitter étant ce que c'est, on a aussi souvent le pire du pire. Plusieurs se sont lâchés lousse, devenant venin eux-mêmes contre A. Et dans le processus, entrainant E. dans le tourbillon de la tempête. Ce qui l'a forcée à se défendre qu'elle en savait juste assez pour que la relation en meurt, et que d'abord et avant tout, elle voulait protéger d'une haine collatérale leurs deux filles étant aussi sur Twitter. Elle voulait calmer les commentaires désobligeants contre celui qui reste le père des deux jeunes pré-adolescentes. Âge névralgique s'il en est un. Ce n'est ni elle, ni les deux petites les fraudeuses. Elle n'étaient que dans la cour avant quand A. montait sa pyramide au sous-sol et à l'ombre, à l'arrière.Avant hier, était mis à jour l'horrible contexte dans lequel l'adolescente de 15 ans Meriem Boundaoui a été assassinée, au mauvais endroit, au mauvais moment, il y a deux étés.
Pour une bête histoire de stationnement. Une haine qui n'a fait que grandir entre deux familles de commerçants de Montréal.
C'est non seulement d'une imbécilité rare. C'est aussi à faire pleurer les statues.
La haine, c'est la colère des faibles.
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