Pas sur votre planète en tout cas.
On atterrit quelque part et on se débrouille, c'est tout.
C'est un peu la même chose pour nos voisins.
Le Québec, je ne le répéterai jamais assez, est un petit miracle d'Amérique du Nord. Nous avons PERDU la bataille des Plaines d'Abraham face aux Anglais. Mais nous parlons toujours majoritairement français. Ça relève de la magie. Il y a de quoi être fameusement fier. Nous sommes entourés de toute part d'anglais et jamais on aura vraiment le respect de ces gens incapables de parler comme nous, alors qu'au contraire, on est des millions, ici, à se débrouiller dans la langue de Shakespeare. Mais maudit qu'on se débrouille. On le voit encore dans ces temps rendus difficiles, on se débrouille en chien.
J'avoue ne plus avoir envie d'entendre parler de Covid-19 et de ses dérivés.
Mais la chose s'impose partout de nos jours.
Ce qui m'a fait hurler cette semaine ce sont les petites trahisons et loucheries internationales qui se dessinent dans nos quotidiens.
Il se joue en ce moment un énorme match de Risk.
Les États-Unis, bon an, mal an, tout dépendant de son homme en poste de président, ont toujours été un relatif allié du Canada. Trudeau Père a eu beaucoup de difficulté à plaire à Nixon et vive-versa. Les deux trouvant l'autre relativement trou de cul. C'était à prévoir. Les deux personnalités étaient parmi les plus répulsives qui soient.
Trudeau père était issu de la bourgeoisie, d'un univers privilégié, et a étudié à Harvard, la London School of Economics et la Sorbonne en plus de voyager largement entre amis pour le simple plaisir.
Nixon, était un gradué de Collège modeste, le fils d'un tout aussi modeste épicier de la Californie. Il a servi en uniforme pendant la Second Guerre Mondiale, ce que Trudeau avait refusé de faire, et a dû se trouver des emplois pour pouvoir payer ses études en droit.
Il devenait normal, que l'un trouve l'autre imbuvable.
Mais les rapports avec les trois autres présidents (Ford, Carter, Reagan) qui ont servi pendant que PET était au pouvoir n'ont jamais été compliqués pour le Canada.
Ça a été comme ça presque tout le temps. Voisin limitrophe. Majoritairement anglophone. Allié naturel. Puis, il y a eu cet idiot en place. Qui, ironiquement, se fiche de tout le monde, du fils de Trudeau aussi, le jalouse, et qui a décidé de nous baiser avec l'Accord de Libre-Échange. En se faisant croire que c'était nous qui les baisait.
On appelle ça, un ennemi.
Et il annonce que tout s'est arrangé de manière heureuse...
ET ALORS? celui qui viole n'est pas plus pardonnable lorsqu'il viole juste un peu moins!
Ça ne peut aucunement être heureux. Tu es infréquentable, imbuvable, répulsif, Donald J.Trump.
On a senti Trudeau toute la semaine se marcher sur les sens face aux questions que les journalistes le pressaient de répondre. Les États-Unis ont ils empêché la distribution de masques au Canada et au Mexique? Yes the fuckers did. Juju n'a jamais voulu le dire. Mais on pouvait le sentir.
Pire allié encore, la fucking Chine! ceux qui détiennent toujours illégalement deux de nos canadiens par simple représailles envers l'arrestation de Meng Wanzhou, fille du fondateur de Huawei, qui ELLE, est accusée de tricherie.
Premièrement, il ne faut pas croire une seule des informations issues de la Chine. Même la Chine elle-même ne croit pas ce que son gouvernement raconte. Alors leur annonce de zéro cas déclaré, lundi, ben c'est ça, ils ne l'ont juste pas déclaré, mais ce n'est pas réglé. Sur une population de presque 2 milliards, ne soyez pas naïfs!
Mais ce qui est très troublant c'est ce serpent Huawei qui aide en douce le Canada en lui glissant du matériel médical et des masques.
HUAWEI!!!!
Suis-je le seul à y voir l'un des plus grand piège à chantage?
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