Ils veulent tous être croqués sur le vif, bébé en main, afin que les dames y voient "un bon père aimant".
C'est de la vulgaire manipulation. Odieux. Ça donne envie de tuer des bébés phoques.
Mark Twain a un jour dit "les politiciens, c'est comme les couches, il faut à un certain moment les changer, et pour les mêmes raisons."
Voici mon exposition vulgaire appelée simplement "Bébés & Politiciens".
Le premier, souvent plus respectable que le second.
On raconte que c'est lors de la campagne d'Andrew Jackson, dans les années 1820, il y a 200 ans, qui le premier, se serait fait offrir un bébé hurlant au visage tout sale par une mère qui en avait plein les bras.
Il aurait alors dit: "regardez moi ce joli specimen de jeunesse américaine, notez l'éclat de son regard, la force de ses poumons, la délicatesse de ses lèvres" le donnant tout de suite après à son ami John Eaton en lui disant "Embrasse-le Eaton", (sans toutefois embrasser le bébé lui-même).
Il ne gagnerait pas son premier essai aux élections.
"Il n'existe qu'une seule raison pour embrasser des bébés, ça fait gagner des votes" aurait-il ajouté par la suite dans son deuxième essai.
Gagnant cette fois, vous devinez en faisant quoi.
Ça reste obscène, en début de semaine.
Manipulation impliquant des très jeunes rejetons.
Excusez-moi.
Pardonnez les
même si ils savent très bien ce qu'ils font.
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