Mais dans l'ère du narcissisme et de l'ego, ça s'étend dans tous les domaines.
Aux États-Unis, on a un prétendu multi-millionnaire néo-président qui ne cache aucunement son admiration pour les dictateurs Kim Jong Un ou Vladimir Putin. Un peu partout dans le monde, principalement dans l'univers des incel, plusieurs adeptes de la philosophie de pensée de l'ancien combattant ultime Andrew Tate, vont le suivre et l'admirer au point d'appliquer ce qu'il prône. Du masculinisme toxique. Tate est même lourdement accusé de traite humaine et d'esclavage sexuel en ce moment même. Mais il a encore tant d'adeptes que même au Québec, il y a de ses sujets qui s'en s'ont fait un rôle modèle, et qui épouse ses idées. Un documentaire sur Télé-Québec appelé Alphas, explorant la masculinité toxique, a été diffusé lundi soir et ça fait peur de voir qu'il y a de potentiels abuseurs humains parmi nous. Les partenaires "amoureuses" sont consentantes, mais...le sont-elles vraiment où sont-elles coincées dans une spirale menottée-apeurée ? Difficile de savoir.Reprenons ce qui est dit plus haut avec le drame qui a été voté mardi le 5 novembre dernier, aux États-Unis.
Le rôle modèle (prétendu mondial-les États-Unis) dont le comportement (l'intimidation), l'exemple (les supports aux génocides) ou le succès (Elon Musk, Jeff Bezos) puis imité (Jair Bolsonaro) dans le but de dupliquer (Pierre Poilièvre) souvent par des plus jeunes face à des plus âgés s'est éteint ce mardi là pour des millions de gens sur terre tout en s'allumant pour d'autres milliers de raté(e)s. Les États-Unis qui se prétendent "Great again" ont choisi 100% le contraire la semaine dernière. Tout être sain indique à ses enfants : "Étudiez ces comportements, ne soyez jamais comme ça".
Le rôle modèle expose des gens (des racistes assumé(e)s) qui se comparent à des groupes d'intérêts (les suprémacistes blancs) exerçant une position sociale (bientôt au gouvernement, sinon déjà là) à laquelle aspire les premiers.Un exemple de rôle modèle semble évident de la part de Donald Trump envers Vladimir Putin. Déjà, dès le lendemain de l'élection du dérangé con, quand Vladimir Zelenski a appelé pour le féliciter, il a été question de la Crimée, que la Russie a volé aux Ukrainiens, et tout de suite on a choisi de se dissocier de Zelenski, prenant le parti du dictateur Putin. La Crimée est Russe leur a-t-on dit.
Ils doivent le savoir mieux qu'eux, les États-Unis, n'est-ce pas ? Comme ils savent qu'Israël n'est pas à la Palestine...Ding Dong Trump admire Putin. Ce n'est pas une cachette. On ne demandait pas mieux qu'un point de contentieux pour pouvoir se ranger du côté des Russes. Et après tout, le crétin président se rappelle aussi que c'est Zelenski qui l'a placé dans de beaux draps quand on lui a fait des propositions d'échanges, qui ont envoyé Paul Manafort en prison pour Donald T, propositions qu'il avait refusé.
Le rôle modèle qu'a déjà été les États-Unis, n'existe plus.
Ça ne peut pas être un criminel au pouvoir, un abuseur, un menteur, un esprit vengeur contre son propre peuple, un misogyne, tricheur et un raciste qui soit modèle pour un peuple.Ça ne peut pas non plus être un religieux de 40 ans, qui veut gangréner tous les départements gouvernementaux de ses croyances bibliques comme en Afghanistan ou au Liban.
Ça ne peut pas être une légion de soldats moraux trop pieux qui brimeront les jeunes femme de droits que leur mères, grands-mères et arrières grand-mères ont gagné pour elles, jadis naguère. Qui vénèrent le retour en arrière.
Ça ne peut pas être aspirer à devenir riche comme Elon Musk, un être totalement mais totalement infect. Ou Jeff Bezos, un homme à l'éthique plus que discutable.Ça ne peut pas être Israël, la Russie, le Bioélorussie, la Corée du Nord, la Chine, la Hongrie, un président Français qui défend un acteur abuseur de femmes, la Hongrie, la Turquie, l'Égypte, le Venezuela, le Salvador.
Bientôt le Canada.
Je me magasine un rôle modèle.Vous avez dit Nouvelle-Zélande ? Scandinavie ?
Ces pays votent des Femmes à la tête de leurs pays. L'élite n'est pas toujours le mal.
Oui, Nouvelle-Zélande, Scandinavie.
On vous suivra. On y arrivera. Mais là, on y est pas.
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