Diplômée universitaire en musique contemporaine, elle suivait aussi des cours de danse, de ballet, ballet-jazz, de claquettes et de ballroom. Jusqu'au milieu de ses 20 ans. Elle fera de la compétition de ballroom dancing. Jusqu'en 2017, elle poursuit un doctorat avec succès en études culturelles avec comme thèse la détériorisation des genres sur la scène du breakdance à Sidney, en Australie.
Ce qu'elle vivra à 100%. Mais elle ne le sait pas encore.
Elle y fait la rencontre d'un danseur qui performe depuis 10 ans et deviendra son époux. C'est lui qui l'encouragera à faire aussi du breakdance. Il sera même son entraineur. 3 à 4 heures d'entrainement par jour. Elle se classe seconde en 2022, en Australie, puis première en 2023, la fois où ça comptera pour se qualifier pour les Olympiques de Paris de l'été dernier, afin de représenter son pays. Sur les 5 années précédents les Jeux, elle sera toujours dans le top 3. Lors de l'unique présentation de ce type de sport aux Jeux Olympiques, car on a déjà annoncé que ça ne reviendra pas aux prochains, elle se fera remarquer pour les mauvaises raisons. Premièrement, elle a 36 ans, là où les autres ont 25 et moins. De plus, elle est costumée relativement différemment des autres, ce qui oui, la distingue, mais impose encore une sorte de distance entre elle et les plus jeunes. Et elle semble caricaturer des stéréotypes que l'on porte sur les Australien(ne)s, pays des kangourous. Elle fait des bonds da kangourous laissant croire à une parodie. Des drôles de choix. Je ne mettrai pas d'hyperlien, ses chorégraphies sont faciles à trouver sur le net. Et il est encore plus facile de s'en moquer. Lors de la compétition, elle ne marquera aucun point. Dans les trois rondes face à trois adversaires, des États-Unis, de la Lithuanie et de la France, elle enregistre un impressionnant total de 0-18. Bien que ce sport soit nouveau pour tout le monde, elle semble complètement improviser. Ce qui n'était pas le cas. Elle est alors sujet de ridicule sur le net et sur les réseaux sociaux alors que tout le monde, médias inclus, relaie les images de ses chorégraphies, et les gens sont parfois même très cruels. Elle devient virale. On est méchant à son égard. Comme la lâcheté de l'anonymat du net peut l'être. Mentalement, elle en souffrira beaucoup. Il est alors plus ou moins inventé que son amoureux eût été du comité de sélection pour qu'elle soit choisie pour les Olympiques. Ce qui ne s'avèrera pas vrai, mais presque. Dans les compétitions de l'intérieur de l'Australie, il avait le pouvoir de la garder dans le Top 3 tout le temps. Elle sera quand même sujet de ridicule pas mal partout.Comme le sport n'est pas ramené aux prochains jeux (ce sera propre à chaque ville hôte de le proposer/l'accepter dans le futur) les compétiteurs/trices ont presque tous cessé de performer et de maintenir des points sur le circuit Australien. La laissant pratiquement seule à faire du breakdance et la classe première en septembre dernier, en Australie. Mais comme elle fait quand même un peu tache sur ce sport particulier, on préfère généralement prendre ses distances de Raygun.
Le 6 novembre dernier, à 37 ans, elle dit ne plus vouloir continuer à compétitionner.
Mais pensant que personne n'écoutait, elle a aussi ensuite choisit de se rétracter. Disant qu'elle n'était pas prête à accrocher sa carrière de breakdanseuse.
Comme son chum n'était pas impliqué dans sa sélection aux Olympiques de Paris pour représenter l'Australie. Mais l'était aussi un peu.
Elle restera quand même souvenir de médiocrité dans son sport et certaine ombre gênante de ce pays.Donald Trump dit ne pas être fasciste. Quand on lui rappelle qu'il semble drôlement bien s'entendre avec le totalitaire Vladimir Putin, il s'égare, comme trop souvent, dans toute sortes d'explications incohérentes. Patine comme un mari cocufiant sa femme au lit avec une autre femme en pleine pénétration disant à sa femme qui les surprend, "Ce n'est pas ce que tu crois!".
Avec la même crédibilité.
Il sera aussi certaine tache dans l'histoire du parti républicain. Retenu mentalement pour les mauvaises raisons. Porte voix de beaucoup de beaucoup d'idées et de groupes de gens sévèrement non recommandables. Dont les attitudes et les pensées étaient plus souvent gardées secrètes comme l'était son appartenance au Ku-Klux-Klan quand on en faisait parti, mais dont la décomplexion et l'affirmation sont favorisées par l'absurde néo-président.Il dit ne pas s'intéresser tant que ça au président Russe qui a changé toutes les règles de la présidence afin d'y rester à vie.
Je vous avais prévenu, les Républicains reviennent pour mieux tricher, et ce, à jamais.
Donald et ses minions ont parlé d'ébauche d'idées sur le concept de troisième mandat... Et vous avez vu les promesses d'hier comme "Attorney General" et comme responsable de la défense ? Élisez un clown, attendez vous à un cirque.
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