Il n'y pas que la classe moyenne qui soit sujette à des plaisanteries de mauvais goût de la part d'instances supérieurs.
Outre notre belle province de république de bananes (sans les bananes)qui démontre à nouveau son mépris pour une partie de la population qu'elle s'amuse à perpétuellement momifier, voici quelques cas pénibles de blagues qui ont très mal tournés.
À London en Ontario en 2004 un courriel est envoyé par trois gérants du conseil de ville à un de leurs employés qui est en vacances à l'extérieur. Glenn Howlett sait qu'il n'est pas le favori au conseil de ville mais il donne tout ce qu'il peut et sait que sa retraite arrivera dans deux ans. Il apprend sur la plage, que ce courriel annonce que le nouveau délai pour produire un rapport extrêmement important est devancé de deux semaines et doit être remis le 1er avril. Howlett coupe ses vacances afin de plancher à toute vitesse sur le rapport en question. Il travaille jour et nuit et sans relâche. Il se donne tant que son coeur le lâche et il est forcé de prendre un congé forcé suite à des palpitations cardiaques. Il prend une retraite deux ans avant l'heure mais soutire à la ville quand même 300 000$ de dommages et intérêts.
En Roumanie, avec une cruauté inimaginable digne de l'ère Caucescu, on publie dans le journal en avril 2000 une liste de 60 noms d'hommes gardés en prison qui seraient libérés. Les soixante familles se tape le long voyage de l'espoir jusqu'aux portes de la prison et ce n'est que là qu'on leur crie à travers la grille: "Poisson d'avril! personne ne sera libéré!"
Le mariage de Randy Wood était terminé. Un peu amer par rapport à la séparation il feint de se pendre en utilisant un harnais mais l'illusion est si parfaite que son ex-femme appelle 911 qui envoie de l'aide en moins de deux. 1000$ dollars que ça lui a coûté au douteux Randy.
Sitra Walker était une employée dans un magasin de linge de Columbus en Ohio. Employée depuis seulement trois semaines elle avait beaucoup de plaisir avec son patron à qui elle a cru bon de lui faire une blague le 1er avril. Elle l'a appelé en panique signifiant que le magasin venait de se faire voler. Le patron a appelé la police qui s'est rendue sur place. Quand Walker a appelé son patron 5 minutes après sa blague pour lui dire que c'était bel et bien...une blague, il était déjà trop tard une amende était en train de s'écrire à son nom par la police et elle devait se trouver un nouvel emploi.
Chris Peters, la crême de la police du Tennessee, a trouvé que le jour du poisson d'avril 2008 était le jour idéal pour utiliser son fusil taser contre ses propres collègues sans les prévenir. Quand les "poissons" se sont retrouvés à l'hôpital on a retiré le fusil à Peters, et on lui a demandé de se trouver un nouvel emploi.
Certains poissons ont toutefois réussi à bouffer le pêcheur qui tendaient la ligne.
Dans un chic restaurant Hooter's de la Floride, un gérant a organisé un concours où la serveuse qui vendrait le plus de bière un certain soir se mériterait une Toyota. Lorsque la gagnante a été amenée devant son prix, on lui a présenté un "toy Yoda" (une figurine de Yoda)...
Elle a poursuivi son employeur et a gagné suffisamment d'argent pour pouvoir entrer chez un concessionnaire Toyota et se choisir celle de son choix.
Personnellement j'attends que Bachand nous annonce que c'était une farce le financement de l'hospice que deviendra le Québec avec nos 25$, 100$ et 200$ versés en plus de nos cotisations sur notre carte d'assurance-maladie et de nos "frais" inexplicables dans toutes les cliniques, CLSC et autres mouroirs.
Quand est-ce qu'on envahit les bureaux?
Juste pour faire "une blague"
Aucun commentaire:
Publier un commentaire