La semaine dernière, le vent a commencé à tourner en Russie. Et chez leurs voisins qu'ils tentent de ne plus faire exister. Qu'ils tentent de génocider entièrement. L'Ukraine est en voie de gagner la sale guerreé
Les proches de Putin commencent à mourir précocement, signe fréquent d'impatience des dictateurs, les conseillers qui se méritent une balle dans la cervelle, qui disparaissent ou qui tombent des bateaux.
Les Ukrainiens sont une brave et impressionnante nation. La Russie a sous estimé ce qu'on peut faire quand on est guidé par l'instinct de survie. À la télévision, les têtes pensantes influentes ont commencé à dire qu'il faudra reconnaitre la défaite. Même les plus fidèles commentateurs qui appuyaient Putin depuis toujours, des futurs-morts me direz-vous, ont reconnu que le peuple Ukrainien existe pour vrai. Qu'il ne peut pas être éliminé comme ça sans lui-même éliminer une grande part de la jeunesse Russe. On a reconnu, sur les ondes télés Russes, que la nation Ukrainienne existait et que la Russie devait commencer à penser à perdre cette guerre dont les soldats ne sont plus convaincus de leur propre lutte.En juin 1957, les anciens premiers ministres Georgy Malenkov et Vyacheslav Molotov, l'ancien vice-président adjoint Lazar Kaganovich et plus tard, le ministre des affaires étrangères Dmitri Shepilov sont tout à fait contre le fait que le Premier Secrétaire du Parti Communiste, Nikita Khrushchev, dénonce le passé Staliniste (Krushchev était pourtant un chouchou et complice de Staline) et qu'il tente de libérer l'Union Soviétique de l'emprise morale du Stalinisme. La vision de Krushchev est de vivre en coexistence pacifique sans faire de vagues. Malenkov et compagnie craignent que ceci les affaiblit dans leurs Guerre Froide avec les capitalistes occidentaux.
On vote à 7 vs 4 pour la destitution de Krushchev de son poste. Kurshchev se défendra, non seulement refusera le résultat du vote sous prétexte que ce ne serait pas eux qui pourraient le destituer, mais s'adjoint les militaires de son côté. Sa position sera réaffirmée plus solidement encore et les 4 dissidents, qu'il avait appelé le groupe anti-parti, seront relocalisés dans des rôles mineurs, loin du gouvernement.Toute la magouille anti Krushchev s'était faite pendant qu'il était en vacances, loin de Moscou.
Dès mars 1964, Leonid Brezhnev songe à faire remplacer Krushchev dont le seconde femme est justement, Ukrainienne. Le premier député Alexander Shelepin, le patron du KGB Vladimir Semichastny se joignent à lui pour le forcer à se démettre de son poste de Premier Secrétaire. On concocte la magouille, encore pendant ses vacances, à Pistunda. On le fait venir sous un faux prétexte au Kremlin, mais Kurshchev est un vieux renard et comprend ce qui se trame. Il accepte, sans trop de résistance de quitter son poste, sans fracas, après que le trio lui eût dit ses 4 vérités. Krushchev reste fasciné et heureux que l'on puisse se parler entre hommes, alors qu'une telle chose, sous Staline, aurait été inimaginable sans morts. On le déloge pendant qu'il est en vacances.En août 1991, Le Comité d'État pour l'État d'Urgence essaie de prendre le pouvoir. Prétextant que Micheal Gorbatchev est malade et ne veut plus diriger l'URSS. Ce n'est pas vrai. Il est en vacances, en Crimée. Il y sera toute la durée du coup d'État qui ne tiendra que 3 jours. Boris Yeltsine s'oppose à l'arrestation de Gorbatchev et deviendra lui-même, le nouveau leader du pays. L'URSS s'effondre complètement dans les trois mois qui suivent et se disloque à jamais. Gorbatchev est retiré de ses fonctions pendant qu'il est loin du Kremlin.
Les troupes Russes reculent. l'Ukraine reprend ce qu'il avait perdu. Moscou est entouré des militaires Russes, mais on ne sait pas encore si c'est pour protéger ceux qui sont en dedans du cercle Moscovite ou si ce n'est pour les remplacer.Vladimir Putin est à Sochi. En retraite.
Il y a un образ действий ici.
Un modus operandi.
Tension Post-Soviétie.
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