On perçoit un certain déséquilibre presqu'exclusivement au masculin depuis quelques années.
Ils se laissent pousser la barbe bien souvent. Ils ont même le culot de faire prendre part à leurs conneries, des enfants qui n'ont même pas l'âge de se reproduire. Ce faisant les adultes attardés derrière tout ça reproduisent la bêtise à l'échelle planétaire.
Car ils se filment et en sont fiers.
Ils sont vulgaires, Ils décapitent convaincus de ce qu'ils font. Convaincus qu'ils se battent au nom de la liberté. Il n'y a jamais rien eu de plus faux.
Un terroriste ne se définit jamais par un but politique, mais plutôt par les moyens qu'il adopte pour y parvenir.
Ils sont la lâcheté sous leurs passe-montagnes avec leurs fusils aussi gros que leur sexe doit être infime.
Ce sont des gens d'un équilibre mental douteux qui entendent les voix de Dieu. D'un certain Dieu en tout cas. Et qui guident tout ce qu'ils sont par leur rapport (inventé, fantasmé, rêvé) avec Dieu.
Avec une instance aussi palpable que la grâce pourrait l'être.
Ils sont dépourvus de jugement.
Il s'agit de la désillusion entretenue.
De la désillusion extrême puisque mortelle, parfois, au bout du compte.
Criminelle.
Il est possible, voire sain, de soutenir certaines causes. Mais ceux qui les soutiennent au moyen de la terreur ne méritent aucun respect de la part de personne. Ce sont la lie de la lie.
Le danger criminel.
Criminel comme Nigel.
Nigel Wright était le principal conseiller de Stephen Harper, notre premier ministre qui a convoqué les 4 joggeurs occasionnels que sont Duceppe, Mulcair, Trudeau et May à un marathon alors qu'ils n'ont jamais couru plus de 2 km.
Quand on a accusé le Sénateur Mike Duffy, un sénateur nommé par les Conservateurs, de frauder pour à peu près 32 000$, le conseiller de Stephen Harper, un ou deux jours après avoir compris que le parti ne rembourserait pas une somme qui allait tripler, a choisi de jouer au preux chevalier au secours de la princesse en détresse.
Il a remboursé, "de sa poche", une somme trois fois plus grande (90 000$) et l'a remise sous forme de chèque à la princesse Duffy.
Lisez cette phrase sans rire:
Nigel Wright, principal conseiller du Premier Ministre Harper, a épongé de sa poche 90 000$ que Duffy aurait fraudé au Gouvernement et à son peuple et n'en a pas soufflé mot à son chef Stephen Harper.
Moi j'entends les rires en cannes d'un océan à l'autre.
Ceux de Stephen et de Nigel principalement.
Il en a plutôt parlé à Chris Woodcock (pénis de bois) le directeur de la gestion des enjeux au bureau du Premier Ministre.
Maintenant lisez cette phrase sans pleurer:
Nigel Wright a posé ce geste car il se sentait guidé par un chapître de la bible, Mathieu 6, où on y parle de droiture morale et d'ignorer de la main droite ce que ferait la main gauche si la cause est juste.
Nigel Wright a été inspiré des saintes écritures.
Il est danger criminel sous le même angle qu'un djihadiste.
Avec les même mécanismes mentaux.
Wright n'est plus à l'emploi du parti conservateur. En tout cas plus aussi publiquement. Il est généralement caché à Londres. On l'a ramené de là pour le procès de Duffy cette semaine.
Wright, tout comme Duffy, ont tous deux étés les bébés sacrifiés avec l'eau du bain par le parti conservateur.
Mais ceux qui restent sont encore le danger.
Car Wright et Duffy ont beau être traités que comme fumée.
ils devraient aussi être le feu qui incendierait les gens dangereux qui nous gouvernent.
Et qui n'ont besoin que de 32% (ou presque) de l'appui Canadien pour rester au pouvoir,
Appui qu'ils ont déjà dans l'Ouest.
Dieu est grotesque.
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