Aux États-Unis d'Armérique (sic) il y a eu 37 fusillades.
37 en 40.
52 citoyen(ne)s en sont mort(e)s, 129 en furent blessé(e)s,
La dernière fusillade a eu lieu vendredi en Georgie, à Lakewood Heights, Atlanta, 4 hommes ont été atteints par balles par d'autre citoyens, mais ont survécu.
Jusqu'à maintenant. Ils sont toujours à l'hôpital de Grady Memorial Hospital. Et ne peuvent pas encore expliquer pourquoi on leur a tiré dessus. Ou choisissent de ne pas le faire.
Comme toutes les fois, les gens ont envoyés leurs pensées et leurs prières, puisque ça fonctionne si bien. Il n'y a que 10 mois et demi à faire à l'année 2025. Et ils ont en moyenne presqu'une fusillade par jour. Mais il n'y rien que l'on puisse faire pour contrer cela.
Cette même fusillade serait faite par un musulman ou un Mexicain que des pieds et des mains seraient montés et plusieurs projets de lois seraient pensés. Combien d'argent serait investi afin de freiner la folie. Mais puisqu'il il ne s'agit presque tout le temps que d'un blanc caucasien, ce qu'il y a à faire c'est proprement rien.
Les États-Unis sont 5 % de la population mondiale. Mais sont 31% des fusillades dans les lieux publics dans le monde. La plupart des pays, encore plus depuis l'absolu mal logé Donald Trump, craignent de venir habiter ou visiter les États-Unis. Mais devant de telles statistiques, ces pays devraient plutôt craindre que ce soit les Étatsuniens qui visitent le leur. Un Étatsunien épuisé qui ne trouve pas que les choses se passent comme ils se devraient, à l'étranger pourrait perdre patience, et la tête en même temps, et tirer partout, à l'étranger, c'est si fréquent dans son chez soi. L'Australie a eu 4 fusillades entre 1987 et 1996, et c'était tellement trop, qu'ils ont restreint l'accès aux armes et depuis, le nombre de fusillade chez les Australiens est de zéro.Et ils pensent que ce ne sont pas les fusils qui tuent les gens, mais les gens qui tuent avec des fusils. Voilà leur fonctionnalité cérébrale. Ce n'est jamais l'outil, toujours la personne. Mais il n' a aucun moyen de ne pas mettre la main sur l'outil. Il n'y a rien à faire. Les États-Unis protègent leurs droit à mettre la main sur l'outil. Pas la vie des enfants, des femmes, des racisé(e)s et des innocent(e)s, le droitde posséder l'outil. Et de l'utiliser.
La dernière fois qu'un média a suggéré que de meilleures lois devraient restreindre l'accès aux armes, un téléspectacteur lui a écrit qu'il lui réservait sa dernière balle pour lui placer entre les deux yeux. Simplement un autre responsable citoyen Étatsunien, propriétaire d'armes à feu, aux États-Unis. Gageons que c'est un homme blanc d'Amérique.
Il n'y a rien à y faire.
Sur la scène, lors du premier jour d'inauguration de la triste et désormais tragique présidence du clown des États-Unis, il y avait les gens les plus riches au monde.Tout ceux d'Amérique du Nord, du moins. Même le patron de Google. Qui a tant baisé la bague du roi clown, qu'il a débaptisé le Golfe du Mexique. Qui sera toujours le Golfe du Mexique pour les gens sensés.
Ces gens riches ne sont pas là pour le petit monde. Ce sont les garçons qui n'étaient jamais choisis les premiers à l'école dans les équipes sportives. Ils n'étaient jamais les premiers non plus à être intéressants pour les filles. Comme personne ne s'intéressait à eux, ils se sont largement organisé pour eux, penser à eux. Et réussir financièrement très fort. Avec succès.Mais désormais, maintenant qu'ils sont maitres du jeu, il est important pour eux de s'assurer qu'on pourra toujours faire ce que l'on veut.
Avec nos outils, aussi, si choisi.Et depuis le noir 5 novembre dernier, le plus sombre 20 janvier encore, il n'y a rien que l'on puisse faire.
Les États-Unis, sont une bombe qui ne demande qu'à sauter. Et comme capitaine, ils ont ce qu'il faut pour que quelque chose se passe. Et les outils protégés bien avant la vie des enfants et des moins privilégié(e)s.
Tous les 12 jours et demi, pensez tuerie aux États-Unis.
Ou du moins, coups de fusils.
Le graal des bandits.
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