Bon(ne)s & Mauvais(es)Multi-Milionnaires

Depuis ma naissance, 1972, on a souvent pris en admiration les multi millionnaires comme gage de succès et comme modèle à suivre.

Le modèle s'est beaucoup altéré avec le temps. 

On a pris conscience que ces gens vivent dans un monde exceptionnel, parallèle, enviable souvent, mais forcément déconnecté des réalités communes. J'entendais quelqu'un se moquer ave candeur de la sortie du dernier album de Taylor Swift où il disait qu'elle va nous chanter la fois où elle a perdu la dernière version de son téléphone dans son jet privé ou la fois où elle s'est perdue dans son jet privé en se rendant aux toilettes. On voit bien qu'elle est comme tout le monde. Mais cette blague part d'une vérité. Ils ont une vie complètement différente des nôtres et incomparables au quotidien.

Depuis l'erreur Trump, on peut expliquer en partie son second mandat par le rassemblement de ses gens extraordinairement riches, qui se sont servis de leurs moyens afin de toujours rester privilégies. Ce qui est légitime au privé, mais quand on l'expose publiquement au détriment des autres, c'est tout simplement indécent. 

On a eu beaucoup de multi millionnaire qui nous sont apparus absolument n#auséabond depuis quelques années. Très fièrement publics. Ce qui confirme une certaine déconnexion des réalités publiques. Il y a bien Robert Miller ou Jeffrey Epstein qui gardait le profil bas, mais ils avaient leurs raisons très malsaines de le faire. Howard Hughes à l'époque était un célèbre ermite qui, par sa richesse, savait que le monde extérieur ne pouvait pas connecter avec son monde.

Mais il y a aussi les "bons" riches. Qui ont gagné des réputation de redistribution de leur richesse en étant généreux, publiquement juste dans leurs décisions. Là où ou d'autres archi riches ont été tout le contraire. Abominables avec forte insistance sur les trois dernières syllabes. 

J'ai recensé 3 super riches que je considère bons et 3 super riches que je considère horrifiant sous plusieurs plans.

Saines Multimilionnaires:

Dolly Parton: Plusieurs diraient qu'elle n'est PAS mutli millionnaire, mais elle l'est. On dit ça parce qu'elle redistribue largement. Dans la pandémie, elle a investi des millions de sa poche dans le but d'aider à trouver une solution vaccinale au virus. Mondialement admirée pour son humilité et sa grande philanthropie, elle a financé de nombreux programmes d'alphabétisation pour ceux et celles qui peinent à lire et écrire aux États-Démunis. Elle ne s'est jamais affichée politiquement inclinée et s'est montré contraire à toute forme de division. Souhaitant même rester derrière la scène plus souvent que générosité trop exposée. Prince faisait beaucoup ça aussi. Très secrètement. Dolly menace de rejoindre Prince dans la mort depuis la semaine dernière. Ce serait une tout aussi immense perte. 

MacKenzie Scott:

Depuis son divorce de Jeff Bezos, l'auteure a donné en terme de milliards, sans grande fanfare dans toute sorte de cause sociale, comme l'égalité raciale, l'éducation (beaucoup) et les organisations favorisant la démocratie sans jamais se mouiller politiquement non plus. Comme tous les juges du monde entier devrait le faire. Mais ça, c'est une autre histoire. L'ironie veut que son couple sera identifié binairement comme La belle et la bête dans cette chronique. Confirmant que leurs différences ne pouvaient qu'être irréconciliables.

Taylor Swift:

Milliardaire modèle pour une demi-tonne de gens dans le monde, phénomène social majeur de nos jours, elle a investi davantage dans les programmes sociaux aux États-Unis que le deux passages au pouvoir du gouvernement corrompu actuel. Elle aussi en terme de milliards. Elle est reconnue pour très bien payer les équipes autour d'elle. Soutenant les droits des artistes en plus de défendre ardemment les siens. Elle utlise ses multiples plateformes pour politiquement se placer en chien de garde en traduisant souvent pour son public les dérives gouvernementales. Elle est assez primordiale. Nettement nécessaire.

Ces trois giga-riches ont l'effet de relever le moral de bien des gens, d'avoir une influence positive partout où elles investissent en redirigeant leur richesse, comprenant qu'on est jamais riche quand on garde son argent, mais toujours quand on est en mesure de le dépenser. 

Socialement positivement.

Malsains Multi Millionnaires:

 Je ne pourrai pas en parler plus largement que je le ferai, leurs saleté a été largement exposée depuis quelques années:

Elon Musk: Polarisant fauteur de trouble chaotique mentalement et terrible envers le gens sous sa supervision. Il a tué l'application Twitter et influence très négativement les discours en ranimant la nazisme san scrupules. Son ego et son instabilité mentale efrraient.

Jeff Bezos: Ordure dans la pratique directrice de ses entreprises, agressif dans les marchés, ce qui est peut-être nécessaire mais considéré/reçu comme tactique d'intimidation toxique, il a plus souvent creusé l'écart entre sa suprême richesse et le travailleur qui le rend riche. Au niveau éthique, il est plus qu'imparfait, mais qui osera attaquer un roi de la montagne ? Il limoge aussi les journalistes du Wall Street Journal qui osent critiquer le président actuel. Rendant le mythique journal dont il est le propriétaire, peu crédible désormais.

Mark Zuckerberg: Fier désinformateur confirmant que la vie privée n'a plus de raisons d'être, la manipulation sociale qui est au coeur des méthodes de Meta, anciennement Facebook, est en partie responsable du premier passage du président actuel des États-Unis. Il a causé des maux mondiaux immense mais semble s'en soucier assez extraordinairement peu. Parce qu'après tout, dans les cerveaux narcissiques (plus là-dessus, demain), si ça ne vous affecte pas directement, est-ce vraiment important de s'en soucier ?

Vous remarquez quelque chose ? 

Ce n'était pas pensé comme ça, c'était très sincèrement "top of my head", mais j'ai été obligé d'accorder mes adjectifs. Les bonnes sont Femmes, les malsains sont mâles. 

Mais c'est injuste de le penser ainsi. 

Colin Kapernick , ex footballeur devenu militant majeur, a encore prouvé sa grande valeur sociale récemment en payant une enquête indépendante qui a relancé une enquête fermée sur la mort d'un jeune noir des États-Unis en en reversant la cause à 100%. Exposant un très certain désir de cacher la vérité de la part de la police. 

En revanche JK Rowlands, auteure des Harry Potter entre autres choses, est devenu une des pires personnes à voir et entendre publiquement. Elle est devenue polarisante avec des positions extraordinairement transphobes et infectes et sur sa large ignorance en ce qui concerne les genres. 

Rappel que les fortunes ne sont toujours que reflets d'un certain déséqulibre.

Que l'indécence est toujours dans le garde-robe, tout près. Et si loin de tout, en même temps. Dans des châteaus fortifiés inaccessibles. Qu'on aura toujours le droit de rêver.