jeudi 23 octobre 2025

Destruction Comme "Preuve" de Force

Quelques évènements la semaine dernière, si ils étaient survenus il y a 10 ans, auraient fait tomber n'importe quel gouvernement.

On a exigé, sans succès, la démission d'un journaliste qui a coupé dans la bullshit lancée par JD Vance en direct à la télé en le contredisant sur ses mensonges. Après la prétendue paix promise des génocidaires Israéliens, après la remise des otages qu'il aurait été préférable de ne jamais faire, on a continué à tenter d'effacer le peu qui reste de la Palestine.  

KKKaroline Leavitt, Secrétaire de la propagande du politburo a répondu par écrit à la question: " ...en 1994, à Budapest, la Russie a signé le memorandum jurant de ne jamais envahir l'Ukraine, (ce qui a été violé une première fois 10 ans plus tard)*, le président ira rencontrer son maitre* on veut rencontrer Vladimir Putin pour la promenade en laisse de doggy Don autour du Kremlin* à Budapest pour avoir ses consignes et peut-être une collation en récompense*, qui a choisi Budapest  pour cette rencontre?" Elle a répondu "Your Mom..." Ce qui montrait une maturité d'enfant de 10 ans. Le journaliste a répliqué "Ça vous fait rire?". Ce à quoi elle a répliqué par "Ce qui me fait rire c'est que vous soyez considéré journaliste..." et gnagnagna..le reste n'est pas important, elle ne répondrait pas à la légitime question par ignorance et/ou par mauvaise foi, ce à quoi le journaliste pouvait simplement dire "...et vous vous considérez porte parole de la Maison-Blanche ?" Mais non, en adulte, on humilie pas les enfants comme ça. 

Finalement, le moron au pouvoir a validé la journée de samedi, la manifestation record de plus de 7 millions d'Étatsuniens contre le président, se dépeignant dans la nuit en roi à bord d'un jet, avec une chanson volée, chiant sur son peuple. 

Surréaliste. 

Le même jour, Pete Hegseth et JD Vance, ont gonflé les biceps pour célébrer la journée au Camp Pendleton célébrant les 250 ans de la marine. Pour des raisons que seuls les porteurs de minuscules pénis connaissent, ils ont choisi de faire usage d'artillerie qui allait dégainer au dessus de l'interstate 5 (!?!) donc au dessus de l'autoroute, une des plus grosses de Californie. Le sain gouverneur démocrate Gavin Newsom s'est objecté pour des raisons de sécurité évidentes, et a fait fermer l'autoroute sur près de 30 kilomètres. Les minions ont accusé Newsom de vouloir faire croire que c'était un dangereux déploiement de force alors que "ce n'était qu'un entrainement de routine".

Stupid ne faisant ce que stupide choisit, une explosion au dessus de l'autoroute a propulsé des éclats d'obus jusque sur les véhicules de l'équipe de JD Vance, endommageant ses voitures, mais ne faisait heureusement, aucun(e) bléssé(e). Newsom a donc probalement sauvé quelques vies en fermant l'autoroute. 

Mais à quoi pensent ces étrons humains ?`

Le président dément, par la suite, a détruit au sens propre, la section est de la Maison-Blanche. Qui appartient, au Peuple des États-Unis, hors-la-loi jusqu'au bout, sous nos yeux.

Personne ne devrait être fâché qu'il y ait des constructions à la Maison-Blanche. Personne ne devrait s'outrer de rénovations, de réparations, d'améliorations, de renforts, de changements de décor. Il y a peut-être du "plus vieux que 1952" là-dedans. Le building n'est pas sacré non plus. Truman dans les années 40 a tout fait refaire en dedans. Les Kennedys n'ont pas que repeinturé les murs ils ont invité la presse à les photographier à l'intérieur et ont ainsi marqué l'histoire. Ted Roosevelt a pratiquement inventé l'aile Ouest. Frankly Delano a fait ajouter un ascenseur et une piscine à l'intérieur. Personne n'avait alors perdu la tête. 

Mais ce qui se passe a peu à voir avec les briques et les permis. Ces gens ne demandent jamais de permission. Ça a tout à voir avec celui qui démolit. Ceux qui tiennent la boule de démolition, la plus édentée des parodies de gouvernance que les États-Unis n'ont jamais enduré. Ils démolissent sans croquis. Sans finalité. Sans design, pas même une présentation de maquette qui pourrait promettre quelques chose. Ce n'est donc pas simplement de la construction. C'est du symbole. 

Toute l'existence de la présidence du taco orange est une escroquerie d'agent immobilier déguisée en nationalisme. Détruire une partie historique de la Maison-Blanche sans même avoir de dessin de la salle de bal qu'il projette placer. Ça ressemble beaucoup à son existence comme président. Brise, vend, blâme la presse, passe à autre chose avant que la poussière ne retombe. Personne n'est surpris qu'il n'ait pas de plan. Il n'en a jamais eu. Il improvise. Quand il dit "I don't know..." il dit vrai pour une fois. Il ne sait jamais

La barre est tellement basse, presque sous terre, et on s'enfarge encore dedans. 

Son entourage twistera toutes les lois comme des Pretzels pour montrer que ceci n'est techniquement pas illégal. Que tu peux commencer la démolition sans ébauche de ce qui s'en vient. Sans étude du projet. 

Les citoyens des États-Unis et du monde regardent tous les jours un adulte avec le quotient intellectuel d'un tuyau vide donner 170 millions à la sécurité intérieure pour une guerre civile qu'ils alimentent et veulent provoquer. C'est la même administration qui a coupé les repas gratuits à l'école d'une main pour signer des chèques pour ses ami(e) de l'autre. C'est la même administration qui traite les programmes sociaux comme on utiliserait des jetons au casino. Si le président est le chien en laisse de Putin, tout ses supporteurs et son entourage sont ceux qui tiennent le sac à caca. 

Ça n'a rien à voir avec la salle de bal ou avec le bulldozer. C'est se demander si l'histoire sera encore importante dans le futur, où si on ne fera que rejouer dans les mêmes films de propagande nazie ?  C'est une claire destruction confondu pour de la prétendue force. 

Ça devient usant de se tanner de celui qui n'arrive pas écrire founding sans correcteur automatique, présentant un démo de la future aile Est, l'aile du peuple et du bureau de la première dame et de voir qu'il pense qu'il s'agit d'une vision.

Quand l'Histoire jugera ces torrents merdeux désormais illustrés en film, On ne se rappellera pas la salle de bal.

On se rappellera de la totale démolition.    

Vous savez qui démolit tout lorsque qu'exaspéré de se faire parler d'Epstein  sous le poids de l'immaturité ?

Les bébés. les animaux. 

Le président est les deux. 

Il a la maturité et la probable couche du premier. Et est le chien en laisse de Putin.

*Ajouts de moi

mercredi 22 octobre 2025

Fusées Explosant au Décollage

Le 9 novembre 2017, le film écrit, réalisé et mettant en vedette l'humoriste Louis C.K. I Love You Daddy a été annulé de distribution en salle. Le distributeur disant que le film serait même sur une tablette pour le restant de ses jours et ne serait jamais diffusé. C'est que ce jour là, Le New York Times révélait, dans la foulée du mouvement #MeToo, que l'humoriste, dans sa loge, s'était branlé devant deux femmes qu'il trouvait de son goût. 

C'était suffisamment outrageux pour qu'il se fasse oublier. Ce qu'il a fait. Sa carrière allait merveilleusement bien. Sa série télé, qu'il écrivait, produisait et dont il se jouait souvent sa propre vie était un grand succès. Si bien qu'un film avait été tourné et en était une extension. 

La carrière de Louis CK prenait du plomb dans l'aile dès en plein envol.  Il n'a rien désavoué, la sexualité est d'ailleurs au coeur de ses propos sur scène et dans ses contenus, ça n'était pas 100% étranger au "personnage" qu'il nous montrait à l'image depuis des années. Il me faisait rire et je l'aimais bien, mais après ceci, moins. sa vulgarité franchissait une limite personnelle. Des amis à moi sont allés le voir le 8 octobre dernier, à Montréal, sur scène.  Je n'y suis pas allé car j'avais un show la veille et deux shows en 2 soirs...à mon âge... la semaine... Après 7 ans, j'étais quand même curieux de voir si il aborde ce triste épisode public. Mes amis m'ont confirmé que non. Et qu'il reste largement sexuel.

Depuis 2017, il garde solidement le profil bas. Veut faire amende honorable. 5 femmes ont déclarés des inconduites sexuelles de la part de Louis C.K. Il mérite une "ombre prolongée". Minimum. Il a aussi 4 enfants. Et sa plus vieille a un an de plus que notre fille. Donc 23 ans. Ses enfants vivent cette humiliante vie publique. Stay low, Louis. Pour eux.

Mais y a pire dans la fusée sur le point de franchement décoller mais qui faceplant.

D4vid.

David Anthony Burke est un chanteur de 20 ans de Houston, au Texas. Il est né à Queens, NY, mais a grandi au Texas. Principalement baigné dans le gospel il a peu à peu versé vers le R & B, la pop, la musique indépendante et suivant l'école à domicile, il a développé des habitudes sédentaires qui l'ont fait jouer des tonnes de fois à des jeux vidéos, dont il faisait des montages sur Tik Tok, faisant la promotion, du même coup, de sa musique. Il y a 3 ans, une de ses chansons entre dans les Top 60 des meilleures 100 du palmarès Billboard, aux États-Unis. Il est invité sur le premier album d'Holly Humberstone et en première partie de la chanteuse SZA, en tournée. Il aura une chanson de la trame sonore de la seconde saison de la série télé Arcane.

En avril dernier, il lance son premier album, et ce sera suivi d'une tournée de promotion et de spectacles sur scène. Jusqu'en septembre dernier. 

Où le reste de la tournée de cette étoile montante est annulée. Car on trouve sa voiture Tesla, avec dans le coffre avant, des restes humains. La voiture était abandonnée, enregistrée à son nom depuis fin août. Ce qui ne prouve rien. On confirme le cadavre comme celui d'une jeune fille de 14 ans. Quand on l'a identifiée comme étant Celeste Rivas Hernandez, c'était le lendemain du jour où elle aurait eu 15 ans. 

Un ordinateur est saisi chez D4vid, son gérant casse le bail de l'endroit qu'il louait en Californie, ses commanditaires se retirent de son nom. D4avid a retenu les services d'un avocat de renom dans le crime de L.A. le temps que l'enquête se déroule. 

Pour le moment, il n'est accusé de rien. Mais les liens entre les deux ont été prouvés. Jusqu'à des tatous identiques qu'ils auraient peut-être fait ensemble. Des conversations sur des téléphones potentiellement incriminantes aussi. 

Son premier hit s'appelait Romantic Homicide

L'aurait-il commis ? Avec une mineure ?

Cette fusée qui décollait va-t-elle exploser ?

Après tout, il était amateur de Tesla, d'Elon Musk, même gang qui font sauter des fusées de SpaceX.

On ne connait pas encore le reste.

Mais ça ne regarde pas bien.        

mardi 21 octobre 2025

NY, Vortex Temporel, 3 Vents des années 70

J'ai connu 8 ans des années 70. Je serais menteur de dire que je les connais parfaitement, mais j'en étais, et existentiellement, j'ai absorbé les années 70 de 0 à 8 ans. Musicalement, cinématographiquement, culturellement, je suis encore très fan de ces années qui étaient des années transitoires en Amérique du Nord où nos parents boomers devenaient des adultes qui devaient être responsables et matures, ce qui obligeait un éveil face à la religion, aux droits civils, aux rôles des femmes et aux liens du mariage. Processus déjà enclenché dans les années 60. Forcé encore par les nombreux Baby Boomers. 

New York, en 1975, au moins jusqu'en 1977, n'était pas qu'une ville elle était fournaise. Elle brûlait d'une lumière artistique étrange qui allait puiser dans la criminalité croissante menant à l'été de Sam, les vidanges s'empilaient dans les rues, on allait perdre l'électricité qui allait plonger la ville dans le noir. Au sens propre comme figuré. 3 prophètes musicaux peuplaient le Max's Kansas City, le CBGB ou le The Bottom Line, Bruce Springsteen, Patti Smith et Lou Reed.

1975, le gars de Jersey, Bruce, avait déjà 10 ans de performances dans les bars et sur scène et Born To Run, composée cette année là, allait être une grenade d'espoir au coeur des États-Unis en lendemain de veille. Le fils d'italienne au manteau de jeans jouant de sa Fender Telecaster ou de sa guitare acoustique, était une nouvelle version des poètes beat. Dans l'antichambre des punks de NY, il ne vendait pas de la nostalgie autant qu'il exorcisait des fantômes pour celui ou celle qui savait écouter. Il allait être sur scène au Bottom Line à l'été 1975, un concert dont les gens allaient parler encore longtemps. Journalistes, critiques, fans, future légendes du rock, disaient tous que voilà sous leurs yeux un émissaire patriotique sain. Qui peut encore faire croire que le rock n' roll a de l'importance et une portée réelle. Capable de faire circuler le sang dans les veines et gonfler le coeur, même si les souliers se couvraient d'asphalte. 

Au même moment, la bonne sorcière poète punk Patti Smith naissait aussi sur scène et sur galette avec son premier effort musico-poétique Horses. Un chef d'oeuvre. Bruce rendait romantique Asbury Park, Patti conjurait plus élémentaire encore. Son premier album croisait Arthur Rimbaud avec une pédale de distorsion de guitare. C'était éméché, sacré, confrontant, baveux au micro branché sur des amplis brisés au travers des nuages de fumée de cigarettes, au CBGB. Tier punk, tier poète, tier shaman elle était sur scène non pas pour divertir mais pour transfigurer. NY était son creuset. Avec Lenny Kaye à ses côtés, et son ami de toujours Robert Mapplethorpe dans l'habillage de l'artiste, ami qui ne survivra pas aux années 80, elle amène alors une énergie nouvelle pour une femme qui ne tente pas de vendre le sexe. Même si le rock 'n roll EST sexe. Elle prend le brut de ses textes, ses compositions en crescendo, et les transforme en élan de proposition sauvage. Elle signe la ligne épique Jesus died for somebody's sin but not mine. Baffe à la religion, mais baiser langoureux à tout le reste du monde sain. Elle embrouillait les frontières entre religions, genres, performance, rituels, musique, poésie, style. Fille spirituelle de Lou Reed et cousine cosmique de Bruce Springsteen, elle serait de la même tornade en studio avec ce dernier pour sa version de la chanson de Bruce, Because The Night. Le miroir qu'elle utilisait n'était pas celui d'une princesse, mais celui d'une prêtresse. 

Lou, miroir sombre, était déjà un fantôme post-Velvet Underground hantant le Lower East Side ou au Max's Kansas City. À la fois légende et conséquence New Yorkaise, poète des ruelles de nuit, dealer de dures vérités, portraitiste de la jungle de NY, il marchait sur un mince fil entre l'art, l'excès, le génie et l'auto-destruction. La finesse dans un garde-robe fermé. Garde-robe qui conservait aussi un expérimentateur sexuel qui avait tant effrayé ses parents, en essayant le sexe au masculin (même pas avec des beaux gars dira Sterling Morrison), que ceux-ci l'avaient forcé aux électro-chocs, ce qui le rend amer à vie. Entre 1975 et 1978, il vit intimement avec la trans Rachel Humphreys. Il composait, il y a 50 ans, son amour pour Coney Island, mais trois ans plus tard, il lançait Street Hassle, 8e album solo du suintant Lou. Journal d'une ville décadente, signée d'un décadent, déchiré entre désir, besoins et survie.  Lou ne produisait jamais pour plaire. Il jouait pour purger. Il était le miroir dans lequel aucun New Yorkais ne voulait se regarder. Le New York des drag queens et des trans, hantise encore régnante chez les ignorant (e)s de nos jours. Il exposait les junkies qui voulaient s'en sortir avec une étrange tendresse, moins cynique que sincère dans le désespoir. Son NY n'était pas le boardwalk de Bruce, ni la cathédrale de rêves de Patti. C'était le conduit de tuyau liant les deux. Poétisant la vraie vie de NY.

Ces trois artistes seraient le même pouls sur une chanson signée Reed. La gravité culturelle les faisant circulant autour des mêmes planètes créatives dans un système solaire brisé, ils avaient tous le pied dans la même rue et l'autre dans les étoiles. Bruce était à la poursuite du rêve Étatsunien qui semblait vouloir quitter NY par le Turnpike. Smith brûlait le drapeau des États-Unis, pissait dans la rivière ou dans l'usine et rendait ça beau. Lou disséquait le tout avec un calme chirurgique, saignant lui-même sur la table d'à côté. 

Ils étaient temple de sincères distorsions sociales. NY allait survivre comme on souhaite que les États-Unis survivront la renaissance du fascisme raciste aux États-Unis. Trois électrique poète criant dans le vide et le vide leur répondant.

Vendredi sera lancé Springsteeen :Deliver Me From Nowhere pour lequel j'ai beaucoup trop d'attentes. Le film raconte Springsteen en 1981-1982, lors de la composition de son album mythique Nebraska. Qui mènera à Born in The USA. Un vortex temporel que j'espère axé sur la création, comme je viens de le faire autour de ces 3 soldats de la jungleland  de NY des années 70.

En 1982, j'avais 10 ans. Ne connaissait rien de Bruce Springsteen. Et si peu de la vie. Je goûterai une part de mon Amérique vendredi. Espérant à la fois poésie, fantômes et profondeur.

Scott Cooper, as tu ça en toi ? I don't know who you are

lundi 20 octobre 2025

Que La Démocratie Domine

Ce qu'un aurait pu lire sur les pancartes samedi comme suggestion de titre à celui qui se pense roi du monde. l'immonde président des États-Désunis et ses minions.

Al Caporn

Alexander Scamilton

Benedick Arnold

Blobby Jones

Blob the Builder

Blob Vila

Bragger Vance

Burger Jean King

Chin Jong Un

Commander in thief

Con Juan

Count Flatila

Cruncgwrap Supreme Leader

Darth Tax Evader

Dictator Tot

Donnie O Cups

Donye West

Dopey Mcgropey

El Pork Choppo

Emperor Plapateeny Hanos

Engorge Washington

Fattyshack

Fiberace

Flabio

Flaccido Domingo

Founding Farter

Gasedus Clay

Gassolini

General Liesenhower

Greedy Mcgolfy

Groper Cleveland

Hippopotus

His Assholiness

His Magassty

Hungry Hungry Hypocrite

Jabba the Pizza Hut

Kim Don Un

King Hungry the Eight

Lie-a-tollah

Trigger Woods

Maga Teresa

Mar-a-Lardo

Metamucil World Peace

Napoleon Bonaspur

Nelson Tandela

Nostradumbass

Obese-Wan Kenobi

Orange Julius Ceasar

Our Fondling Father

Petty Roosevelt

Phony Soprano

President Dompa J. Loompa

Presidementia

Pumpkin Mcpornhumper

Quo Pro Combover

Rip One Van Winkle

Scammy Davis Junior

The Ayatollah Complaini

The Lyin' King

The Mad Red Hatter

The Maga-Lorian

The Notorious P.I.G.

The Shart of The Deal

The Turd Reich

Uncle Scam

Unhappy Gilmore

Useless S.Grant

Velveeto Corleone

Yabba Dabba Doofus

Yellvis

Le faible, l'ignorant, le non éduqué, le grossier, le lésé par la vie, la lie de la lie, le sans jugement, l'intimidé qui se complait en victime, le tricheur, l'aveugle religieux, le jaloux, le dépourvu d'empathie, ne voient aucune valeur en la démocratie ou même au républicanisme. Ils n'y voient rien pour eux là-dedans.


 Le chaos du président représente un reflet de leur état mental, ou une chance de faire des bénéfices financiers. 

C'est leur chance de voir le reflet d'un endeuillé de talent dans un pouvoir qu'ils n'ont souvent jamais approché. 

N'ont pas les moyens d'avoir du pouvoir nulle part. 

La démence présidentielle a accepté de diffuser un vidéo généré par l'intelligence articificielle dépeignant le président en roi pilotant un jet au dessus des villes et déversant de la merde sur son peuple.

Vous avez bien lu. Les gens ne croiront pas les livres d'histoire. 

dimanche 19 octobre 2025

Le Monde Entier est Antifa

Le mot Antifa est une contraction des mots antifaschistische aktion, un groupe anti-fasciste co-fondé par l'Allemand Ernst Thällman et ses amis, en 1932, parce qu'Adolf Hitler prenait du grade et allait se faire offrir le pouvoir, un an plus tard. Erreur grave et monumentale que même les Allemands ont regretté, beaucoup trop tard. 

Les États-Unis y sont tout à fait, mais ne sont pas encore suffisamment dans le regret. Où pensent solutionner avant de se rendre trop loin dans la fascisme. Qui pourtant est bien en selle. Fermer le gouvernement afin de retarder l'augmentation des primes d'assurances santé, assurance Républicaine, est un premier pas de digne résistance. Le soulèvement mondial, d'hier en est un autre.  

Il y a quelques temps, la triste Kristi Noem, qui ne sait pas ce qu'est l'habeas corpus, a prétendu que ses agents de ICE avaient fait la capture de la blonde du fondateur d'Antifa. Avec son président tout juste, a côté qui n'a jamais relevé l'absurdité du moment. C'est dur d'être plus cloche. "Antifa" n'existe pas. C'est être contre le fascisme. C'est comme être pro-vie. TOUT LE MONDE est en faveur de la vie. On est pro-choix ou anti-choix. L'administration au pouvoir aux É-U invente un terme péjoratif qui est, partout dans le monde, une croix d'honneur. Et qui a toujours été la plus belle des missions en démocratie américaine. La photo qui coiffe ce billet est une des photos les plus célèbres de gloire antifasciste. 

Qui sont leurs contraires ?

Les Proud Boys

Groupe d'extrême droite néo-fasciste, ils ont toujours été contre tous les gouvernements démocratiques en Amérique du Nord, sauf celui-ci, épousé par le président dément. Au Canada et en Nouvelle-Zélande, ce groupe est reconnu comme groupe terroriste. On prône la violence politique pour arriver à ses fins, ils étaient nombreux le 6 janvier 2021, au Capitol, issus de ce gang et, maintenant pardonnés par le clown président, beaucoup sont engagé dans le gang terroriste gouvernemental ICE. On nie être suprémaciste blanc mais les connexions, idéologies et leur définition du patriotisme s'y collent parfaitement.

Le Patriot Front

Groupe raciste, principalement antisémite, ils étaient autour de 200 membres affiliés en 2021 et sont déjà associés à 3992 incidents violents dans leur propagande haineuse aux É-U. Ouvertement blanc suprémaciste et néo-fasciste, ce gang est né d'une division d'un groupe néo-fasciste trop mou en 2017 par l'adolescent Tyler Ryan Rousseau.

Turning Point USA

Fondé par le raciste Charlie Kirk et le riche activiste conservateur Bill Montgomery, ce groupe fantasme sur des États-Unis blancs ou les familles sont composées d'épouses soumises à leur mari noyant leurs prétendues "belles valeurs familiales" dans une hypocrisie religieuse. Force dominante chez les jeunes incels conservateurs. Mouvement qui prend de l'importance dans l'idiote Alberta. 

Heritage Foundation

Think thank de l'extrême droite, ils sont à l'origine du Projet 2025 qui contamine maintenant le gouvernement actuel au pouvoir. Fondé en 1973 par des infectés religieux, l'idéologie propose des servants civils, des contrôles de la naissance, de la criminalisation de l'homosexualité, des agences fédérales devenant armes du gouvernement, de liberté avec les armes à feu, et de strict contrôle de l'immigration. Les racistes s'y cachent. 

Les Oath Keepers

Milice anti-gouvernementale de l'extrême droite dont les 2 3 sont d'anciens membres militaires. Plusieurs ont été condamnés pour leurs dérives en société depuis leur création en 2009. Le président dément a défendu ses "good guys" dont plusieurs sont aussi devenus agents intervenants du mouvement terroriste gouvernemental ICE.

Le 3 %

Décentralisé (au dessus des lois) groupe de l'extrême droite anti gouvernementale plutôt raciste qui a pris naissance en "réaction" à l'élection de Barack Obama. A quoi voulait-on réagir ? Le nom du groupe est tiré d'une fausseté historique qui dit que seulement 3% des États-Uniens des colonies ont combattu dans la Révolution Américaine. Milice aussi, donc armée parallèle.    

Atomwaffen

Voulant dire arme atomique, en allemand. Aussi connu sous le vocable Front de Résistance Nationale Socialiste. Extrême-droite et néo-nazie, cette formation est d'emblée raciste et très infiltrée dans ICE. Un des mouvements des plus violents du 21e siècle considéré terroriste presque partout. Mais pas au bureau ovale. 

Le Club For Growth

Groupe fiscalement conservateur concentré sur les réductions de taxes et les décisions économiques. Fondé par deux milliardaires, tout ce qui serait d'intérêt humain est un handicap à la richesse personnelle et ils sont actuellement ravis des occasions d'affaires récentes avec le Qatar et l'Argentine, mais l'assurance santé ?  un boulet.

Le Ku Klux Klan/La suprématie blanche

Ai-je besoin de détailler ? Ce regroupement devrait être mort en enterré. Comme le nazisme. Mais comme le nazisme, il a repris du gallon avec le racisme décomplexé exposé aux États-Unis.

Les Trumpers

Aveugles mentaux excusant tout impair du président dément. Même si ça défie l'intelligence. He loves the uneducated. Il l'a dit. Heux ossi (sic). 

Voilà les VRAIS ennemis à combattre, freiner, ÉRADIQUER.  Tous dans l'antichambre des Républicains au pouvoir. Le véritable mal, pur. 

Les gens déconnectés de notre époque ont complètement travesti le sens du mot "woke". Qui voulait dire "allumé", qui veut maintenant dire "extrême gauche". Mais il ne faut pas laisser les néo-nazis nous convaincre qu'être antifasciste est un mal. Ils SONT le mal humain. Le monde entier est antifa. 

Et doit le rester, pour toujours, comme ça. 

Si tu n'es pas d'accord, merci de ne jamais plus me lire.

Si le monde n'est pas d'accord, faites moi changer de planète. 

Y a des hosties de limites. 

Atteintes. Le monde entier l'a scandé hier. Fuck off USA !  Until a president change. Un changement positif. Hier n'était qu'un respect de la constitution, du premier amendement. Constitution dont ils se calissent.