La phrase a peut-être été popularisée par Micheal Harrington dans son livre de 1962, The Other America, dans lequel il cite Charles Abrams, une autorité dans le domaine de l'urbanisme. Andrew Young a été cité à dire que les États-Unis ont un système politique qui propose la socialisme pour les gens riches et la libre entreprise pour le pauvre. Martin Luther King utilisait beaucoup la phrase de Young, à son tour, dans ses discours. Depuis au moins 1969, Gore Vidal a largement répandu l'idée que la libre entreprise était pour les gens pauvres et le socialisme pour les gens riches. Notamment, dans son essai politique des années 80 Reaganomics.
À l'hiver 2006/2007, le fondateur et président de la Citizen's Energy Corporation, dans le dossier des importations d'huile en provenance du Venezuela, pays alors sous la main d'Hugo Chavez, a dû encaisser la critique du Venezuela qui qualifiait le système des É-U, comme étant justement, une sorte de socialisme favorisant le riche, et la libre entreprise, enlignée vers les pauvres, les laisse tomber sans scrupules. Robert F. Kennedy Jr, a souvent exprimé devant de grandes foules que les États-Unis sont une terre où le socialisme est pour le riche et le brutal capilatisme vise le pauvre. L'économiste Dean Baker, dans son livre The Conservative Nanny State: How the Wealthy Use the Governement to Stay Rich and Get Richer, Donald Trump en étant la dernière grande preuve, expose dans son livre la théorie qui titre cette chronique.Le linguiste et scientifique Noam Chomsky a critiqué la manière dont le libre marché est appliqué. Il a exposé que les riches utilisent la rhétorique du libre marché quand vient le temps d'imposer de grands risques économiques contre les classes plus modestes, tout en restant protégé par le milieu politique qui leur accorde des avantages économiques sans avoir à subir les rigueurs que les marchés imposent. Il a confirmé tout ça en disant aussi que les pauvres prenaient tous les risques sur les marchés et les riches étaient constamment protégés par la gouvernement. Il a, entre autre, dit que les riches veulent un gouvernement mou qu'ils peuvent contrôler (de là les nombreuses contributions aux partis de leur part), et si il le riche se trouvent dans le trouble, le payeur de taxes (qu'ils ne sont souvent même pas) épongera l'échec pour eux.
Le concept de Too Big To Fail (trop gros pour faire faillite) est souligné dans les écrits de Chomsky.Ils sont très nombreux à exposer l'inévitablement vrai. Fonderie Horne, au Québec. IAG, la compagnie d'assurances, aux États-Unis, faites votre choix, ailleurs. Le riche est brutalement privilégié par les gouvernements.
Ça me fait pas aimer l'argent en général, davantage. Scandeurs de "libarté", continuez à courir avec vos chaines.
Nous sommes à New York pour le 4ème jour aujourd'hui, et le capitalisme pointe sa tête partout.Je ne participe pas trop à la valse. Je suis même assez radin. Mais on s'amuse en famille pareil.
Beaucoup.
Les villes qui ne dorment pas sont mes soeurs de sang.
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Parce que des enfants pas tellement doués pour l'expression francophone et frôlant la débilité pure se sont infiltrés sur ce site je me vois forcé de modérer les commentaires :)