J’ai tremblé de tout mon corps écrasé sur le dos hier.
Des chocs électriques me sont passés jusque dans le menton et ça n’avait rien à voir avec les performances olympiques sur lesquelles j’avais les yeux.
J’étais chez le dentiste.
Maintenant les dentistes ont des télévisions dans les plafonds lorsque nous sommes couchés sur le dos, nos yeux peuvent se planter sur ce qui s’y passe et oublier un peu qu’on nous torture la mâchoire. Jusqu’à ce qu’on se sente à Guantanamo avec un choc électrique épouvantable mais ça c’est de la régie interne avec mes dents.
Ce qui est bizarre comme idée c’est que leur télé est sans son. Sur Mute. On a le texte des malentendants qui défile au bas de l’écran et c’est la radio de Cité Rock matante qui fait rage au niveau sonore. Sur deux heures la radio a dû nous offrir au moins 70% de reprises. C’étais épouvantable. En une heure et demie on a clairement prouvé à mes oreilles que la musique francophone n’avait que des interprétations des autres à offrir. Et de total massacre en plus d’Un Musicien Parmi Tant D’Autres, La Manic ou Viens Danser. Lamentable. A-t-on encore le droit d’avoir des compositions originales ? De plus l’émission en cours était entrecoupée d’une ligne ouverte dont le très estival sujet était « quels sont les sujets qu’il ne faut jamais aborder à table en famille ? ». Étonnament, personne n'a parlé de la couleur de la margarine... Un appel sur trois étais un égaré qui voulait faire une demande spéciale. Z’ont pas des filtreurs d’appels ses nigauds ? stagiaire d'été surement... C’étais complètement burlesque d’entendre l’animatrice flusher les appelants quand ils n’étaient pas en harmonie avec le sujet.
Pas aussi burlesque que le sous-titrage que mon regard savourais par exemple. Je ne sais trop si il s’agissait d’un système informatique qui générerait automatiquement du texte selon les sons évoqués ou encore des gens qui tapaient mal à la vitesse de l’éclair mais les résultats étaient désopilants. Alexandre Despaties « savent ou rien » sa victoire des jeux du Commonwealth au lieu de les savourer ; Les « Astres Aliènent » étaient quatrième en aviron et une phrase comme « Il faut savoir que le rang du marqueur se tue mal la quantité des choix athlètes » était monnaie courante. Certaines phrases demandaient de grandes jongleries mentales pour finalement les comprendre.
Des chocs électriques me sont passés jusque dans le menton et ça n’avait rien à voir avec les performances olympiques sur lesquelles j’avais les yeux.
J’étais chez le dentiste.
Maintenant les dentistes ont des télévisions dans les plafonds lorsque nous sommes couchés sur le dos, nos yeux peuvent se planter sur ce qui s’y passe et oublier un peu qu’on nous torture la mâchoire. Jusqu’à ce qu’on se sente à Guantanamo avec un choc électrique épouvantable mais ça c’est de la régie interne avec mes dents.
Ce qui est bizarre comme idée c’est que leur télé est sans son. Sur Mute. On a le texte des malentendants qui défile au bas de l’écran et c’est la radio de Cité Rock matante qui fait rage au niveau sonore. Sur deux heures la radio a dû nous offrir au moins 70% de reprises. C’étais épouvantable. En une heure et demie on a clairement prouvé à mes oreilles que la musique francophone n’avait que des interprétations des autres à offrir. Et de total massacre en plus d’Un Musicien Parmi Tant D’Autres, La Manic ou Viens Danser. Lamentable. A-t-on encore le droit d’avoir des compositions originales ? De plus l’émission en cours était entrecoupée d’une ligne ouverte dont le très estival sujet était « quels sont les sujets qu’il ne faut jamais aborder à table en famille ? ». Étonnament, personne n'a parlé de la couleur de la margarine... Un appel sur trois étais un égaré qui voulait faire une demande spéciale. Z’ont pas des filtreurs d’appels ses nigauds ? stagiaire d'été surement... C’étais complètement burlesque d’entendre l’animatrice flusher les appelants quand ils n’étaient pas en harmonie avec le sujet.
Pas aussi burlesque que le sous-titrage que mon regard savourais par exemple. Je ne sais trop si il s’agissait d’un système informatique qui générerait automatiquement du texte selon les sons évoqués ou encore des gens qui tapaient mal à la vitesse de l’éclair mais les résultats étaient désopilants. Alexandre Despaties « savent ou rien » sa victoire des jeux du Commonwealth au lieu de les savourer ; Les « Astres Aliènent » étaient quatrième en aviron et une phrase comme « Il faut savoir que le rang du marqueur se tue mal la quantité des choix athlètes » était monnaie courante. Certaines phrases demandaient de grandes jongleries mentales pour finalement les comprendre.
J’ai cru un instant à un complot des dentistes pour que nous offrions de larges sourires afin de leur faciliter la tâche. Ça ne l’a pas empêché de m’électrocuter et de me promettre un « amical » traitement de canal pour dans trois semaines.
Étendu là comme un masochiste en pleine session avec sa dominatrice j’ai eu le temps de m’émerveiller de la machine olympique Michael Phelps. Ça semble si naturel son affaire alors qu’il doit y avoir des années de travail, de sacrifices et d’efforts derrière tout ça. Le gars a en plus un sourire d’un million de dollars, son avenir est tout à fait sans danger. Tout comme ce sauteur en hauteur qui avait fait son saut sur le dos ou Wayne Gretzky qui a réécrit le livre des records au hockey on pourra dire en natation qu’il y a eu un « avant » et un « après » Michael Phelps. Le gars a tout simplement réinventé son sport dans sa technique même. Chaque course fait tomber un record de la façon la plus pure (semble-t-il jusqu’à maintenant du moins…). Le gars semble être beaucoup trop fort pour tous ceux qui l’entoure. Il force l’admiration.
Je viens de copier son régime…12 000 calories par jour
Qui sait peut-être que ça pourrait m’aider à garder ma ligne moi aussi
Breakfast: Three fried-egg sandwiches loaded with cheese, lettuce, tomatoes, fried onions and mayonnaise. Two cups of coffee. One five-egg omelet. One bowl of grits. Three slices of French toast topped with powdered sugar. Three chocolate-chip pancakes.
Lunch: One pound of enriched pasta. Two large ham and cheese sandwiches with mayo on white bread. Energy drinks packing 1,000 calories.
Dinner: One pound of pasta. An entire pizza. More energy drinks.
Étendu là comme un masochiste en pleine session avec sa dominatrice j’ai eu le temps de m’émerveiller de la machine olympique Michael Phelps. Ça semble si naturel son affaire alors qu’il doit y avoir des années de travail, de sacrifices et d’efforts derrière tout ça. Le gars a en plus un sourire d’un million de dollars, son avenir est tout à fait sans danger. Tout comme ce sauteur en hauteur qui avait fait son saut sur le dos ou Wayne Gretzky qui a réécrit le livre des records au hockey on pourra dire en natation qu’il y a eu un « avant » et un « après » Michael Phelps. Le gars a tout simplement réinventé son sport dans sa technique même. Chaque course fait tomber un record de la façon la plus pure (semble-t-il jusqu’à maintenant du moins…). Le gars semble être beaucoup trop fort pour tous ceux qui l’entoure. Il force l’admiration.
Je viens de copier son régime…12 000 calories par jour
Qui sait peut-être que ça pourrait m’aider à garder ma ligne moi aussi
Breakfast: Three fried-egg sandwiches loaded with cheese, lettuce, tomatoes, fried onions and mayonnaise. Two cups of coffee. One five-egg omelet. One bowl of grits. Three slices of French toast topped with powdered sugar. Three chocolate-chip pancakes.
Lunch: One pound of enriched pasta. Two large ham and cheese sandwiches with mayo on white bread. Energy drinks packing 1,000 calories.
Dinner: One pound of pasta. An entire pizza. More energy drinks.
(ben noooooooooooon je sais que le gars s'entraine 5 fois par jour! vais continuer mon jogging sur mon tapis roulant...)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Certaines Conditions S'Appliquent:
Parce que des enfants pas tellement doués pour l'expression francophone et frôlant la débilité pure se sont infiltrés sur ce site je me vois forcé de modérer les commentaires :)